Les bonjours et contacts journaliers du Mois de Septembre 2016
2 participants
Page 1 sur 3
Page 1 sur 3 • 1, 2, 3
Les bonjours et contacts journaliers du Mois de Septembre 2016
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
Dictée
La maîtresse :
"Les poules .... sortaient .... du poulailler ..... dès qu'on .... avait ouvert .... la porte."
Et des élèves ont écrit :
"Les poules sortaient du poulailler ; Des cons avaient ouvert la porte ! "
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
Re: Les bonjours et contacts journaliers du Mois de Septembre 2016
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
Bonjour !
Aujourd'hui, nous fêtons les Gilles ainsi que les Josué et Lazare de Béthanie.
Prénoms fêtés autrefois : Loup.
Demain, nous fêterons les Ingrid.
Le 1er septembre est le 244e jour de l'année du calendrier grégorien, le 245e en cas d'année bissextile. Il reste 121 jours avant la fin de l'année.
C'était généralement le 15e jour du mois de fructidor dans le calendrier républicain français, officiellement dénommé jour de la truite.
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
à Marseille :
le soleil se lève à 7h 02
le soleil se couche à 20h 13
durée d'ensoleillement :13h 10 (-3mn)
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
Citation du jour :
« Ce n'est point parce qu'il y a une rose sur le rosier que l'oiseau s'y pose : c'est parce qu'il y a des pucerons. »
Jules Renard
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
Dicton du jour :
« À la Saint-Loup, la lampe au clou. »
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
Proverbe du jour :
« Avoir des amis, c'est être riche. »
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
Événement du jour :
1557 : Jacques Cartier meurt à St-Malo.
L'explorateur français Jacques Cartier, découvreur du Canada, s'éteint dans sa ville natale de Saint-Malo. Né en 1491, il est l'auteur de cartes de navigation qui permettent d'aller au Canada, pays qu'il a découvert et baptisé. Successeur de l'explorateur florentin Jean de Verrazane, Jacques Cartier y mène trois expéditions. Il succombe de la peste qui ravage Saint-Malo cette année-là. Voir les chroniques du 20 avril et du 10 mai.
1715 : mort du Roi de France Louis XIV, le « Roi-Soleil ».
1939 : La Deuxième guerre mondiale éclate. À 4 heures 45 du matin, les troupes allemandes envahissent la Pologne, sans déclaration de guerre. Pendant qu'un croiseur cuirassé ouvre le feu sur l'arsenal de la marine polonaise dans le port de Dantzig, 53 divisions allemandes passent à l'attaque, appuyées par l'aviation qui détruit rapidement au sol l'essentiel de la chasse polonaise. La Pologne devient donc le premier pays à goûter à la « guerre éclair » des Nazis ; elle ne dispose manifestement pas des troupes et de l'équipement militaire pour lui permettre d'opposer une résistance valable. Le 29 du même mois, Varsovie capitulera.
1966 : discours anti américain de De Gaulle à Phnom-Penh.
1974 : carte à puce.
C'est l'arrivée sur le marché des premières «cartes à puces» inventées par le Français Roland Moreno, qui en a déposé le brevet le 25 mars 1974.
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
L'historiette :
Yvette Mordeloup, coiffeuse pour dame de Sylvie Tiffeneau
Yvette Mordeloup était coiffeuse pour dames et mangeuse d'hommes. Un feu au cul permanent qui la faisait s'allonger sous tous les mâles que comptait la petite ville où elle officiait. Mais si Yvette avait la cuisse légère, elle avait aussi le cœur lourd car bon nombre de ses amants, réguliers ou occasionnels, étaient les maris de ses clientes. Et ça chiffonnait sa conscience professionnelle ce mélange des genres. Aussi, elle redoublait d'attention pour les malheureuses épouses qui fréquentaient son salon.
Et que je te masse voluptueusement le cuir chevelu, et que je t'illumine cheveux ternes et filasses de couleurs flamboyantes... sans oublier ce coup de ciseaux à nul autre pareil qui transformait la plus quelconque de ces dames en diva incendiaire.
Mais Yvette avait bien tort de culpabiliser, car la plupart de ses clientes, à tout prendre, préféraient une bonne coupe au coup hâtif et bâclé dont les gratifiaient leurs maris le samedi soir et n'auraient pour rien au monde renoncé à leur rendez-vous bihebdomadaire au salon de coiffure.
[hide="Lire la suite de l'historiette... "]Mais un jour, tout bascula quand un représentant en produits capillaires entra dans le salon. Cheveux ondulés, verbe avantageux et œil frisotté, il déballa sa marchandise dans l'arrière-boutique et emballa la coiffeuse aussi sec. Un coup de foudre qui la tétanisa tandis que le gominé la besognait entre deux caisses de bigoudis multicolores. Dès lors Yvette refusa d'ouvrir ses cuisses à tout autre que son VRP adoré. Pire, elle confia sa clientèle aux mains inexpertes de Josiane, l'apprentie, afin de s'envoyer en l'air sans vergogne avec son figaro. Et le salon résonna jour et nuit des hululements orgasmiques de la coiffeuse tandis que Josiane, l'œil bovin et la mèche blondasse, massacrait la chevelure des clientes.
Au bout de quelques semaines, dans le salon, la révolte succéda au mécontentement. Nulle ne se souvient comment l'idée germa, mais peu à peu elle enfla et s'imposa comme une évidence : pour retrouver les mains d'or de la coiffeuse, il fallait se débarrasser de l'infâme merlan qui la leur avait ravie. Comme leur esprit étroit de petites bourgeoises provinciales se refusait à commettre l'irréparable, elles se convainquirent qu'il s'agissait d'assistance à personne en danger. En effet, la belle Yvette, à force d'arpenter le septième ciel en tout sens et dans toutes les positions, s'étiolait et elle, jadis si gironde, faisait peine à voir.
Un matin, après un orgasme si violent que les murs en tremblèrent, Yvette fit une apparition au salon, son peignoir de soie voilant à peine son corps amaigri. Elle adressa un pâle sourire à ses clientes et s'évanouit, entraînant dans sa chute les présentoirs de shampoings en promotion. Horrifiées, les clientes se concertèrent du regard, leur décision prise : ce soir le VRP priapique ne serait plus de ce monde.
Tandis qu'Yvette était transportée à l'hôpital, ces dames s'organisèrent. La bouchère fut chargée d'apporter scies, hachoirs, désosseurs et couteaux, Josiane fut priée de cesser de pleurnicher et de se bouger les fesses pour dénicher coupe-chou, ciseaux et rasoirs bien affûtés, les autres clientes se mirent en quête de bassines et de serpillières.
Une fois les ustensiles réunis, elles montèrent à l'étage, Madame la Maire en tête. Celle-ci entrebâilla la porte de la chambre où le rustre faisait sa sieste et s'immobilisa net en poussant un petit cri. Aussitôt ces dames se pressèrent pour voir ce qui avait troublé la notable. « Nom de Dieu ! » s'exclama la boulangère. Sur le lit, le représentant en produits capillaires dormait entièrement nu, exposant à l'assemblée le plus gigantesque engin jamais répertorié. Rocco Siffredi à côté faisait figure de garçonnet prépubère.
Un instant désarçonnées, ces dames se reprirent et se mirent à l'ouvrage. Ce fut un jeu d'enfant grâce à la bouchère, qui connaissait son affaire en matière de découpage. Elles mirent les morceaux dans des sacs qu'elles firent brûler dans la chaudière, changèrent les draps, nettoyèrent les instruments et s'accordèrent un thé au jasmin pour se remettre de leurs émotions. Si toutes avaient remarqué au moment de mettre les restes du représentant au feu que son bel organe avait été subtilisé, nulle n'y fit allusion. Cette belle pièce de l'anatomie du VRP, une fois séchée et empaillée, allait faire une heureuse, c'est sûr.
Quelques jours plus tard, lorsque Yvette revint, on lui fit croire que le représentant en produits capillaires s'était fait la malle. La coiffeuse pleura beaucoup et se goinfra de pâtisseries pour se consoler. Puis tout rentra dans l'ordre, elle reprit ses ciseaux pour le plus grand bonheur de ses clientes. Quelques semaines plus tard, la belle Yvette avait retrouvé ses formes pulpeuses d'antan et gratifiait même ses clientes de confidences coquines sur l'attribut viril de son ancien amant. Détails, qui, allez savoir pourquoi, faisaient rougir Madame la Maire et glousser les clientes.
Ah ! Comme l'humeur était joyeuse, comme l'harmonie régnait au sein du salon ! Jusqu'au jour où une de ces dames fit remarquer à Yvette qu'elle devrait peut-être y aller mollo côté petits gâteaux car son ventre s'arrondissait à vue d'œil. « Ce ne sont pas les gâteaux, murmura radieuse la coiffeuse. Je crois bien que je suis enceinte. D'ailleurs, mesdames, il vous faudra vous trouver une autre coiffeuse car, dès que le bébé sera là, je fermerai le salon pour me consacrer entièrement à lui. »
L'annonce tomba comme un couperet. Des coiffeuses comme Yvette, il n'y en avait pas à des kilomètres à la ronde ! Ces dames se regardèrent déterminées : pas question de renoncer à leurs brushings impeccables et à leurs balayages acajou à cause d'un lardon ! Dans quelques mois, il leur faudrait ressortir désosseurs et couteaux...[/hide]
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
Bonne journée à toutes et tous
Il est venu le temps de la rentrée
Il est venu très vite septembre
ce mois le plus tendre, le mois le plus doux
Il est venu le temps de l'école
Bonne rentrée scolaire les enfants.
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
Bonjour !
Aujourd'hui, nous fêtons les Gilles ainsi que les Josué et Lazare de Béthanie.
Prénoms fêtés autrefois : Loup.
Demain, nous fêterons les Ingrid.
Le 1er septembre est le 244e jour de l'année du calendrier grégorien, le 245e en cas d'année bissextile. Il reste 121 jours avant la fin de l'année.
C'était généralement le 15e jour du mois de fructidor dans le calendrier républicain français, officiellement dénommé jour de la truite.
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
à Marseille :
le soleil se lève à 7h 02
le soleil se couche à 20h 13
durée d'ensoleillement :13h 10 (-3mn)
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
Citation du jour :
« Ce n'est point parce qu'il y a une rose sur le rosier que l'oiseau s'y pose : c'est parce qu'il y a des pucerons. »
Jules Renard
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
Dicton du jour :
« À la Saint-Loup, la lampe au clou. »
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
Proverbe du jour :
« Avoir des amis, c'est être riche. »
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
Événement du jour :
1557 : Jacques Cartier meurt à St-Malo.
L'explorateur français Jacques Cartier, découvreur du Canada, s'éteint dans sa ville natale de Saint-Malo. Né en 1491, il est l'auteur de cartes de navigation qui permettent d'aller au Canada, pays qu'il a découvert et baptisé. Successeur de l'explorateur florentin Jean de Verrazane, Jacques Cartier y mène trois expéditions. Il succombe de la peste qui ravage Saint-Malo cette année-là. Voir les chroniques du 20 avril et du 10 mai.
1715 : mort du Roi de France Louis XIV, le « Roi-Soleil ».
1939 : La Deuxième guerre mondiale éclate. À 4 heures 45 du matin, les troupes allemandes envahissent la Pologne, sans déclaration de guerre. Pendant qu'un croiseur cuirassé ouvre le feu sur l'arsenal de la marine polonaise dans le port de Dantzig, 53 divisions allemandes passent à l'attaque, appuyées par l'aviation qui détruit rapidement au sol l'essentiel de la chasse polonaise. La Pologne devient donc le premier pays à goûter à la « guerre éclair » des Nazis ; elle ne dispose manifestement pas des troupes et de l'équipement militaire pour lui permettre d'opposer une résistance valable. Le 29 du même mois, Varsovie capitulera.
1966 : discours anti américain de De Gaulle à Phnom-Penh.
1974 : carte à puce.
C'est l'arrivée sur le marché des premières «cartes à puces» inventées par le Français Roland Moreno, qui en a déposé le brevet le 25 mars 1974.
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
L'historiette :
Yvette Mordeloup, coiffeuse pour dame de Sylvie Tiffeneau
Yvette Mordeloup était coiffeuse pour dames et mangeuse d'hommes. Un feu au cul permanent qui la faisait s'allonger sous tous les mâles que comptait la petite ville où elle officiait. Mais si Yvette avait la cuisse légère, elle avait aussi le cœur lourd car bon nombre de ses amants, réguliers ou occasionnels, étaient les maris de ses clientes. Et ça chiffonnait sa conscience professionnelle ce mélange des genres. Aussi, elle redoublait d'attention pour les malheureuses épouses qui fréquentaient son salon.
Et que je te masse voluptueusement le cuir chevelu, et que je t'illumine cheveux ternes et filasses de couleurs flamboyantes... sans oublier ce coup de ciseaux à nul autre pareil qui transformait la plus quelconque de ces dames en diva incendiaire.
Mais Yvette avait bien tort de culpabiliser, car la plupart de ses clientes, à tout prendre, préféraient une bonne coupe au coup hâtif et bâclé dont les gratifiaient leurs maris le samedi soir et n'auraient pour rien au monde renoncé à leur rendez-vous bihebdomadaire au salon de coiffure.
[hide="Lire la suite de l'historiette... "]Mais un jour, tout bascula quand un représentant en produits capillaires entra dans le salon. Cheveux ondulés, verbe avantageux et œil frisotté, il déballa sa marchandise dans l'arrière-boutique et emballa la coiffeuse aussi sec. Un coup de foudre qui la tétanisa tandis que le gominé la besognait entre deux caisses de bigoudis multicolores. Dès lors Yvette refusa d'ouvrir ses cuisses à tout autre que son VRP adoré. Pire, elle confia sa clientèle aux mains inexpertes de Josiane, l'apprentie, afin de s'envoyer en l'air sans vergogne avec son figaro. Et le salon résonna jour et nuit des hululements orgasmiques de la coiffeuse tandis que Josiane, l'œil bovin et la mèche blondasse, massacrait la chevelure des clientes.
Au bout de quelques semaines, dans le salon, la révolte succéda au mécontentement. Nulle ne se souvient comment l'idée germa, mais peu à peu elle enfla et s'imposa comme une évidence : pour retrouver les mains d'or de la coiffeuse, il fallait se débarrasser de l'infâme merlan qui la leur avait ravie. Comme leur esprit étroit de petites bourgeoises provinciales se refusait à commettre l'irréparable, elles se convainquirent qu'il s'agissait d'assistance à personne en danger. En effet, la belle Yvette, à force d'arpenter le septième ciel en tout sens et dans toutes les positions, s'étiolait et elle, jadis si gironde, faisait peine à voir.
Un matin, après un orgasme si violent que les murs en tremblèrent, Yvette fit une apparition au salon, son peignoir de soie voilant à peine son corps amaigri. Elle adressa un pâle sourire à ses clientes et s'évanouit, entraînant dans sa chute les présentoirs de shampoings en promotion. Horrifiées, les clientes se concertèrent du regard, leur décision prise : ce soir le VRP priapique ne serait plus de ce monde.
Tandis qu'Yvette était transportée à l'hôpital, ces dames s'organisèrent. La bouchère fut chargée d'apporter scies, hachoirs, désosseurs et couteaux, Josiane fut priée de cesser de pleurnicher et de se bouger les fesses pour dénicher coupe-chou, ciseaux et rasoirs bien affûtés, les autres clientes se mirent en quête de bassines et de serpillières.
Une fois les ustensiles réunis, elles montèrent à l'étage, Madame la Maire en tête. Celle-ci entrebâilla la porte de la chambre où le rustre faisait sa sieste et s'immobilisa net en poussant un petit cri. Aussitôt ces dames se pressèrent pour voir ce qui avait troublé la notable. « Nom de Dieu ! » s'exclama la boulangère. Sur le lit, le représentant en produits capillaires dormait entièrement nu, exposant à l'assemblée le plus gigantesque engin jamais répertorié. Rocco Siffredi à côté faisait figure de garçonnet prépubère.
Un instant désarçonnées, ces dames se reprirent et se mirent à l'ouvrage. Ce fut un jeu d'enfant grâce à la bouchère, qui connaissait son affaire en matière de découpage. Elles mirent les morceaux dans des sacs qu'elles firent brûler dans la chaudière, changèrent les draps, nettoyèrent les instruments et s'accordèrent un thé au jasmin pour se remettre de leurs émotions. Si toutes avaient remarqué au moment de mettre les restes du représentant au feu que son bel organe avait été subtilisé, nulle n'y fit allusion. Cette belle pièce de l'anatomie du VRP, une fois séchée et empaillée, allait faire une heureuse, c'est sûr.
Quelques jours plus tard, lorsque Yvette revint, on lui fit croire que le représentant en produits capillaires s'était fait la malle. La coiffeuse pleura beaucoup et se goinfra de pâtisseries pour se consoler. Puis tout rentra dans l'ordre, elle reprit ses ciseaux pour le plus grand bonheur de ses clientes. Quelques semaines plus tard, la belle Yvette avait retrouvé ses formes pulpeuses d'antan et gratifiait même ses clientes de confidences coquines sur l'attribut viril de son ancien amant. Détails, qui, allez savoir pourquoi, faisaient rougir Madame la Maire et glousser les clientes.
Ah ! Comme l'humeur était joyeuse, comme l'harmonie régnait au sein du salon ! Jusqu'au jour où une de ces dames fit remarquer à Yvette qu'elle devrait peut-être y aller mollo côté petits gâteaux car son ventre s'arrondissait à vue d'œil. « Ce ne sont pas les gâteaux, murmura radieuse la coiffeuse. Je crois bien que je suis enceinte. D'ailleurs, mesdames, il vous faudra vous trouver une autre coiffeuse car, dès que le bébé sera là, je fermerai le salon pour me consacrer entièrement à lui. »
L'annonce tomba comme un couperet. Des coiffeuses comme Yvette, il n'y en avait pas à des kilomètres à la ronde ! Ces dames se regardèrent déterminées : pas question de renoncer à leurs brushings impeccables et à leurs balayages acajou à cause d'un lardon ! Dans quelques mois, il leur faudrait ressortir désosseurs et couteaux...[/hide]
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
Bonne journée à toutes et tous
Il est venu le temps de la rentrée
Il est venu très vite septembre
ce mois le plus tendre, le mois le plus doux
Il est venu le temps de l'école
Bonne rentrée scolaire les enfants.
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
Invité- Invité
Re: Les bonjours et contacts journaliers du Mois de Septembre 2016
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
Bonjour !
Aujourd'hui, nous fêtons les Ingrid.
Demain, nous fêterons les Grégoire le Grand ainsi que les Grégory.
Le 2 septembre est le 245e jour de l'année du calendrier grégorien, le 246e en cas d'année bissextile. Il reste 120 jours avant la fin de l'année.
C'était généralement le 16e jour du mois de fructidor dans le calendrier républicain français, officiellement dénommé jour du citron.
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
à Marseille :
le soleil se lève à 7h 03
le soleil se couche à 20h 11
durée d'ensoleillement :13h 07 (-3mn)
ça diminue vite les jours... grrrrrrrrrrrrrrrr
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
Citation du jour :
« La vérité est la chose la plus précieuse que nous ayons. Économisons-la. »
Samuel Langhorne Clemens, dit Mark Twain
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
Dicton du jour :
« Forte chaleur en septembre, à pluies d'octobre faut s'attendre. »
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
Proverbe du jour :
« À méchant ouvrier point de bon outil. »
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
Événement du jour :
909 : fondation de l'abbaye de Cluny, en Bourgogne.
1715 : chapelle funérairedu Roi Soleil.
Le cercueil de Louis XIV est exposé dans le salon de Mercure au château de Versailles, veillé par 72 ecclésiastiques, avant d'être transporté en grandes pompes à la basilique Saint Denis.
1945 : Hô Chi Minh proclame l'indépendance du Viêt Nam.
Hô Chi Minh proclame la République Démocratique du Viêt Nam à Hanoïet l'indépendance du pays sur la Place Ba Dinh.Le Vietminh, fondé en 1941 par d'anciens dirigeants du parti communiste indochinois, profite de la capitulation du Japon et de l'épuration lancée par les gaullistes dans l'administration française locale, pour proclamer l'indépendance. Ho Chi Minh devient président du nouveau gouvernement révolutionnaire. La guerre d'Indochine va commencer dans peu de temps.
1985 : Une équipe franco-américaine retrouve, par 4000 mètres de fond, l'épave du paquebot Titanic qui a sombré dans la nuit du 14 avril 1912 à quelque 800 kilomètres au sud-est de Terre-Neuve, lors de son voyage inaugural, emportant dans la mort plus de 1500 passagers et membres d'équipage. Utilisant un sous-marin télécommandé muni de puissants projecteurs qui illuminent les fonds sous-marins, l'équipe prend 12.000 clichés en couleurs du navire naufragé.
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
L'historiette :
Témoin de famille de Monsieur Lepage
Ce vase ? C'est un souvenir familial. J'en ai d'autres mais j'ai exposé celui-ci dans mon salon pour montrer, en quelque sorte, ma solidarité avec ma généalogie. Je vais vous raconter. Vous avez besoin de me connaître un peu mieux.
Bonne journée à toutes et tous
Septembre a bien démarré sous la chaleur et le soleil
que demander de mieux, l'été continue et on profite
Weekend qui s'annonce, pour moi pas mal de choses
de prévues va t-on tout faire ? on verra bien.
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
On y va demain c'est déjà le weekend...
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
Bonjour !
Aujourd'hui, nous fêtons les Ingrid.
Demain, nous fêterons les Grégoire le Grand ainsi que les Grégory.
Le 2 septembre est le 245e jour de l'année du calendrier grégorien, le 246e en cas d'année bissextile. Il reste 120 jours avant la fin de l'année.
C'était généralement le 16e jour du mois de fructidor dans le calendrier républicain français, officiellement dénommé jour du citron.
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
à Marseille :
le soleil se lève à 7h 03
le soleil se couche à 20h 11
durée d'ensoleillement :13h 07 (-3mn)
ça diminue vite les jours... grrrrrrrrrrrrrrrr
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
Citation du jour :
« La vérité est la chose la plus précieuse que nous ayons. Économisons-la. »
Samuel Langhorne Clemens, dit Mark Twain
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
Dicton du jour :
« Forte chaleur en septembre, à pluies d'octobre faut s'attendre. »
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
Proverbe du jour :
« À méchant ouvrier point de bon outil. »
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
Événement du jour :
909 : fondation de l'abbaye de Cluny, en Bourgogne.
1715 : chapelle funérairedu Roi Soleil.
Le cercueil de Louis XIV est exposé dans le salon de Mercure au château de Versailles, veillé par 72 ecclésiastiques, avant d'être transporté en grandes pompes à la basilique Saint Denis.
1945 : Hô Chi Minh proclame l'indépendance du Viêt Nam.
Hô Chi Minh proclame la République Démocratique du Viêt Nam à Hanoïet l'indépendance du pays sur la Place Ba Dinh.Le Vietminh, fondé en 1941 par d'anciens dirigeants du parti communiste indochinois, profite de la capitulation du Japon et de l'épuration lancée par les gaullistes dans l'administration française locale, pour proclamer l'indépendance. Ho Chi Minh devient président du nouveau gouvernement révolutionnaire. La guerre d'Indochine va commencer dans peu de temps.
1985 : Une équipe franco-américaine retrouve, par 4000 mètres de fond, l'épave du paquebot Titanic qui a sombré dans la nuit du 14 avril 1912 à quelque 800 kilomètres au sud-est de Terre-Neuve, lors de son voyage inaugural, emportant dans la mort plus de 1500 passagers et membres d'équipage. Utilisant un sous-marin télécommandé muni de puissants projecteurs qui illuminent les fonds sous-marins, l'équipe prend 12.000 clichés en couleurs du navire naufragé.
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
L'historiette :
Témoin de famille de Monsieur Lepage
Ce vase ? C'est un souvenir familial. J'en ai d'autres mais j'ai exposé celui-ci dans mon salon pour montrer, en quelque sorte, ma solidarité avec ma généalogie. Je vais vous raconter. Vous avez besoin de me connaître un peu mieux.
- Lire la suite de l'historiette... :
- Mes arrière-grands-parents du côté maternel se sont mariés vers dix-huit ans, à la campagne. Je parle de campagne reculée. Pas de route, pas d'électricité, la fosse d'aisance à l'extérieur... vous voyez. Le décalage était aussi grand entre cette campagne et la campagne normale, qu'entre la campagne normale et la ville. On pourrait dire qu'ils vivaient un peu avant le moyen âge. Mon grand-père me disait qu'ils mangeaient encore sur une tranche de pain dur en guise d'assiette. Grâce à ce qu'il m'a raconté au fil du temps, j'ai pu reconstituer leur histoire.
Les choses qui nous sont familières n'existaient pas chez eux, comme par exemple le divorce. J'ignore s'ils s'aimaient ou pas. Peut-être que dans leur monde, l'amour n'était pas... enfin les relations fonctionnaient autrement. Vous trouvez un partenaire avec lequel vous pouvez vous combiner à peu près, vous considérez que vous avez de la chance. Vous faites avec parce qu'il n'y a pas tant de choix et vous avez besoin de l'autre pour vivre, autant l'homme que la femme. On s'organisait tout simplement comme ça.
Seulement, côtoyer un homme ou une femme quotidiennement durant une moitié de siècle devait demander une bonne dose de patience. Au début vous vous découvrez, puis vous avez de quoi vous occuper, les enfants, les chèvres, les champs, tout ça. Puis les enfants grandissent et soudain vous vous trouvez face à un désert entre le moment où ils quittent la maison et celui où vous ne serez plus autonome. Disons quinze, vingt ans. Vous tentez de maintenir vos activités agricoles mais inexorablement, la vie vous rapproche et vous frotte l'un contre l'autre jour après jour jusqu'à créer des irritations parfois aiguës. C'est douloureux et il n'y a rien que vous puissiez faire. Sauf...
Mes arrière-grands-parents avaient trouvé une sorte de compromis. Ils ne souhaitaient pas que l'autre disparaisse, mais savoir que cette possibilité existait constituait une sorte d'espoir qui leur permettait de tenir la distance. Et puis c'était devenu un jeu. Ils se disposaient de petits pièges, pas bien méchants mais qui, avec un peu de chance, pouvaient aboutir. L'un ou l'autre laissait traîner des bouts de bois dans l'escalier, du savon dans le bac à bain, un râteau expertement disposé dehors, des couteaux dépassant du bord de la table... Quand il revenait des champs, le père rapportait parfois du coquelicot, parce qu'on lui avait dit que dans d'autres pays c'était de la drogue, ou des nigelles parce qu'il avait entendu qu'elles pouvaient être nocives. J'ignore ce qui lui passait par la tête, peut-être imaginait-il qu'elle allait les mâcher. Cela tenait plus du folklore que de la préméditation. Mais forcément l'un des deux devait aller trop loin un jour ou l'autre.
Tous les ans, à la fin de l'automne, on tuait le cochon qui allait fournir de la charcuterie pour les dix mois suivants. Cette année-là, au jour fixé, le père, équipé de fusil et couteau, fit monter le cochon de sa cave et appela sa femme. Elle arriva, sans oublier d'emporter un récipient pour recueillir le sang. Un ustensile en terre cuite qui faisait office de marmite, d'urne, de soupière, de bassine ou même de seau, selon la nécessité du moment. Après avoir placé de la nourriture devant l'animal pour éviter le stress, l'homme appliqua le canon sur le front de la bête. La mise à mort du cochon, c'est tout un rituel. Mon arrière-grand-père pressa sur la détente, et l'explosion lui envoya des éclats de métal dans la figure et au travers de la gorge. Son épouse, d'un geste précis rôdé par l'usage, lui tint la tête par les cheveux et glissa la vasque dessous pour recueillir le sang. Un réflexe. Elle n'eut pas de mal à le tenir, il n'était pas lourd. Il était du genre grand sec, une ossature aussi saillante que les poutres de sa mansarde. Quand le récipient fut plein, elle ajouta une bonne dose de sel pour ne pas que le sang coagule, comme elle aurait fait avec le cochon, puis elle alla le ranger à l'écart dans la grange. Enfin elle descendit promptement au hameau pour signaler l'accident. Elle revint, accompagnée des enfants du voisin, pour voir le cochon fouiller dans une mare brune et gluante, poussant par à-coups un corps presque froid.
On procéda à l'enterrement, et peu après on aida mon arrière-grand-mère avec le cochon parce qu'il ne fallait pas laisser traîner. Personne ne remarqua que cette année-là il y eut nettement plus de boudin noir que d'habitude. On n'allait pas s'en plaindre, c'est quand même goûteux le boudin noir. Elle pouvait toujours dire qu'on lui avait donné le sang d'un autre cochon, l'essentiel était qu'il n'y ait pas de différence fondamentale entre les deux provenances.
Vous vous doutez que ce n'était pas un accident. Mon arrière-grand-mère avait coincé un caillou dans le canon du fusil, et la vétusté de l'arme avait fait le reste. Elle n'avait pas prévu ce dénouement : son époux vérifiait toujours l'arme avant de s'en servir, mais cette fois il ne l'avait pas fait. Et ce qui s'est passé ensuite n'était rien que de très naturel. Dans les campagnes, on ne jette rien, on récupère tout. Mon arrière-grand-mère est morte quelques années plus tard. Un jour de regret, elle a tout raconté à ses enfants.
Le vase que vous voyez là, vous l'avez deviné, est celui qui a été passé sous le cou de mon aïeul. C'est une sorte de pont entre trois générations, un témoin de famille. De temps en temps je m'en sers pour servir une soupe rustique lors d'un repas de fête entre amis. Ils ne sont pas au courant, bien sûr. Presque personne ne sait. Mais vous, ce n'est pas pareil, puisque je me prépare à vous demander la main de votre fille.
Bonne journée à toutes et tous
Septembre a bien démarré sous la chaleur et le soleil
que demander de mieux, l'été continue et on profite
Weekend qui s'annonce, pour moi pas mal de choses
de prévues va t-on tout faire ? on verra bien.
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
On y va demain c'est déjà le weekend...
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
Invité- Invité
Re: Les bonjours et contacts journaliers du Mois de Septembre 2016
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
Il s'agit d'une vidéo qui a été faite par le chanteur Macaco avec les travailleurs et les patients du 8e étage (Oncologie) de L'Hôpital pour enfants "San Juan de Dios" à Barcelone afin de récolter des fonds pour la recherche sur le cancer.
Chaque fois que vous entrez dans la vidéo, 5 centimes seront versés à la cause.
J'espère que tu l' ouvriras et que tu le transmettras à tous tes amis. C'est pour une bonne cause . et la chanson est magnifique !
Bonne journée.
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
Re: Les bonjours et contacts journaliers du Mois de Septembre 2016
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
Pour les petits et les grands
Une mine d' or sur la technologie courante : comment c' est fait ?
Il y a tellement de propositions que le plus difficile c' est de retrouver ce que l' on veut connaitre !
On peut y passer des heures ! ! ! !
Une mine d'or de savoir.
Pour les curieux de tout.
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
Re: Les bonjours et contacts journaliers du Mois de Septembre 2016
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
au revoir les vacances... à l'année prochaine
Bonjour !
Aujourd'hui, nous fêtons les Grégoire le Grand ainsi que les Grégory.
Demain, nous fêterons les Rosalie ainsi que les Iris, Irma de Süchteln, Marin, Moïse et Moshé.
Le 3 septembre est le 246e jour de l'année du calendrier grégorien, le 247e en cas d'année bissextile. Il reste 119 jours avant la fin de l'année.
C'était généralement le 17e jour du mois de fructidor dans le calendrier républicain français, officiellement dénommé jour de la cardère.
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
à Marseille :
le soleil se lève à 7h 05
le soleil se couche à 20h 09
durée d'ensoleillement : 13h 04 (-3mn)
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
Citation du jour :
« Il faut bonne mémoire après qu'on a menti. »
Pierre Corneille
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
Dicton du jour :
« À la Saint-Mansuy, les veillées au pays. »
« Orages de septembre, neiges de décembre. »
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
Proverbe du jour :
« Un sage solitaire ne vaut pas une bande de sots. »
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
Événement du jour :
1389 : voyage de Charles VI en Languedoc.
Le Roi Charles VI quitte Paris pour un voyage en Languedoc, qui dure jusqu'en février 1390. Il se rend à Nevers, Lyon, puis rencontre le pape à Avignon. Il visite Montpellier, Béziers, Toulouse, Foix où le reçoit Gaston Phébus : Certains historiens parlent d'un départ le 2 septembre, d'autre «aux environs de la Saint Michel ».
1759 : le pape Clément XIII condamne l'Encyclopédie de Diderot.
1914 : le gouvernement d'Union sacrée se replie sur Bordeaux, en raison de l'offensive allemande près de Paris.
1939 : La France et la Grande-Bretagne déclarent la guerre à l'Allemagne. Moins de 10 heures après l'annonce par le premier ministre britannique Neville Chamberlain du déclenchement des hostilités, la bataille de l'Atlantique fait sa première victime. Un sous-marin allemand torpille le paquebot britannique Athenia. Sur les 1400 passagers, dont un grand nombre fuyaient la guerre en Europe, 112 périssent.
1940 : l'Etat français met officiellement fin à la politique anticléricale de la république.Les lois interdisant l'enseignement aux congrégations religieuses sont abrogées.
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
L'historiette :
Une dernière virée au manoir de Christiane Tuffery
Cette nuit encore, il irait rôder dans les pièces du manoir. Le vent, son meilleur allié pour ses virées nocturnes, faisait battre les volets de bois, grincer la chaîne du puits, craquer les branches des arbres qui se tordaient sous sa puissance, activer le feu dans la cheminée du salon principal. Tous ces bruits n’alarmaient plus les habitants du manoir et couvraient ceux qu’il aurait pu faire.
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
Bonne journée à toutes et tous
Premier weekend de septembre
sous le signe du soleil et de la chaleur
alors profitons des beaux jours,
les orages seront bientôt là
La vie est belle, aimons là.
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
au revoir les vacances... à l'année prochaine
Bonjour !
Aujourd'hui, nous fêtons les Grégoire le Grand ainsi que les Grégory.
Demain, nous fêterons les Rosalie ainsi que les Iris, Irma de Süchteln, Marin, Moïse et Moshé.
Le 3 septembre est le 246e jour de l'année du calendrier grégorien, le 247e en cas d'année bissextile. Il reste 119 jours avant la fin de l'année.
C'était généralement le 17e jour du mois de fructidor dans le calendrier républicain français, officiellement dénommé jour de la cardère.
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
à Marseille :
le soleil se lève à 7h 05
le soleil se couche à 20h 09
durée d'ensoleillement : 13h 04 (-3mn)
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
Citation du jour :
« Il faut bonne mémoire après qu'on a menti. »
Pierre Corneille
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
Dicton du jour :
« À la Saint-Mansuy, les veillées au pays. »
« Orages de septembre, neiges de décembre. »
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
Proverbe du jour :
« Un sage solitaire ne vaut pas une bande de sots. »
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
Événement du jour :
1389 : voyage de Charles VI en Languedoc.
Le Roi Charles VI quitte Paris pour un voyage en Languedoc, qui dure jusqu'en février 1390. Il se rend à Nevers, Lyon, puis rencontre le pape à Avignon. Il visite Montpellier, Béziers, Toulouse, Foix où le reçoit Gaston Phébus : Certains historiens parlent d'un départ le 2 septembre, d'autre «aux environs de la Saint Michel ».
1759 : le pape Clément XIII condamne l'Encyclopédie de Diderot.
1914 : le gouvernement d'Union sacrée se replie sur Bordeaux, en raison de l'offensive allemande près de Paris.
1939 : La France et la Grande-Bretagne déclarent la guerre à l'Allemagne. Moins de 10 heures après l'annonce par le premier ministre britannique Neville Chamberlain du déclenchement des hostilités, la bataille de l'Atlantique fait sa première victime. Un sous-marin allemand torpille le paquebot britannique Athenia. Sur les 1400 passagers, dont un grand nombre fuyaient la guerre en Europe, 112 périssent.
1940 : l'Etat français met officiellement fin à la politique anticléricale de la république.Les lois interdisant l'enseignement aux congrégations religieuses sont abrogées.
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
L'historiette :
Une dernière virée au manoir de Christiane Tuffery
Cette nuit encore, il irait rôder dans les pièces du manoir. Le vent, son meilleur allié pour ses virées nocturnes, faisait battre les volets de bois, grincer la chaîne du puits, craquer les branches des arbres qui se tordaient sous sa puissance, activer le feu dans la cheminée du salon principal. Tous ces bruits n’alarmaient plus les habitants du manoir et couvraient ceux qu’il aurait pu faire.
- Lire la suite de l'historiette... :
- Les hommes étaient acagnardés autour de l’âtre, leurs mains lovées autour d’une tasse de tilleul pour les réchauffer. Repus de leur dîner, fatigués de leur journée de chasse, ils ne songeaient qu’à se délasser devant un feu réconfortant, béats et jouissant de cette dernière douceur du jour, avec, dans leurs yeux, les reflets rouges et jaunes des flammes, les pieds à l’aise dans des charentaises. Les paroles rares faisaient parfois sursauter ceux qui commençaient à céder à l’appel du sommeil.
Il les avait souvent observés à leur insu, eux qui se sentaient à l’abri et qui n’auraient jamais pu imaginer qu’un visiteur nocturne puisse s’inviter sans bristol, d’autant que toutes les portes avaient été verrouillées dès dix neuf heures. Mais lui, il n’avait pas besoin de bristol. Il entrait quand il le voulait et certainement pas par la porte. Son sésame c’était le vieux puits qui renfermait en son milieu l’entrée d’une galerie menant dans les caves du manoir.
Il s’y était aventuré, quelques années auparavant en utilisant le seau de bois. Arrivé à mi-hauteur du puits, il avait découvert ce passage secret et n’avait eu de cesse de le parcourir jusqu’à trouver où il menait : à l’intérieur du manoir. La bâtisse, il la connaissait donc bien, autant sinon mieux que leur propriétaire et il avait eu largement le temps d’explorer le territoire.
Dans le chenil, pas un chien de la meute ne réagissait. Il avait pris le temps de les amadouer par maintes paroles et caresses, s’assurant ainsi de leur silence quand il divaguait dans la propriété. Les bêtes prêtaient une oreille dès qu’elles le sentaient puis, rassurées, replongeaient dans leur sommeil.
Une fois dans les lieux, il lui fallait ruser pour échapper à la vue des servantes qui trottinaient entre la cuisine et la salle à manger et prodiguaient maintes courbettes serviles. Le ballet durait deux heures. Regarder ces pourceaux s’empiffrer nourrissait sa haine et le confortait dans son impertinence de violer l’intimité de ces seigneurs.
Ces soirs de tempête, grisé par son audace et affamé par sa course, tout lui semblait possible. Une fois dans les lieux, quand il savait les servantes occupées dans la souillarde, sans bruit il s’aventurait dans la cuisine et s’emparait d’une cuisse de poulet grillé, parfois d’une pomme ou d’un quignon de pain blanc. Il s’amusait de ce chapardage qui laissait dubitative la vieille Sidonie à qui il ne fallait pas en raconter. Bien campée sur ses jambes, les mains sur ses fortes hanches, il la voyait qui détaillait le plat de poulet auquel il manquait un morceau.
Elle se frottait alors le menton et passait sa colère sur Rose qu’elle traitait de voleuse. Pauvre Rose, innocente mais rusée. Lorsque l’orage des explications était passé, bien à l’abri au fond de la cuisine chichement éclairée, il dévorait la viande du pilon qu’il abandonnait ensuite sur la table avant de rejoindre incognito une autre cachette. Là, il dégustait la pomme dont-il posait le trognon sur la tablette du guéridon du couloir principal.
L’estomac rempli, il pouvait alors écouter les discussions qui emplissaient la salle à manger ponctuées par les gros rires gras des hommes, affamés eux-aussi après leur journée passée au grand à air à chevaucher à travers la campagne et les forêts. Seul le tintement du cristal des verres donnait de la noblesse à cette réunion masculine.
Il observait la main du maître qui s’oubliait sur le fessier de Rose et la fierté que celle-ci en retirait. Pauvre Rose qui s’épanouissait sous la chaleur de ces doigts et qui ne savait pas encore que cette tiédeur allait la faner bien plus vite que les rayons du soleil !
Il en savait quelque chose, lui, né de cette empreinte laissée sur les hanches d’une fleur bien plus jolie que cette Rose. Servante au manoir, sa mère avait subi la contrainte de cet homme et, une fois grosse, elle avait été chassée d’une chiquenaude. Jamais elle ne s’était remise de cette honte. Lui, il connaissait toutes ses failles et les séismes qui les avaient provoquées. Hier, sa mère avait rendu l’âme et, au pied de son lit, il avait fait le serment de la venger. Il était là pour laver l’affront. Ce qu’il avait vu ce soir, comme beaucoup d’autres soirs, le conforta dans sa décision. Il ne laisserait pas l’opportunité à cet homme de continuer à ensemencer sans impunité.
En bas, les hommes s’apprêtaient à regagner leurs chambres. Il se dirigea vers la chambre du maître. Au-dessus du lit trônait le blason Brabant d’or au lion d’azur armé et lampassé de gueule. Ce soir, le lion allait connaître la morsure fatale. Le lit était prêt pour la nuit. Il ouvrit sa gibecière et en extirpa une boite dont-il vida le contenu dans les draps bassinés : une vipère aspic tout endormie mais qui n’allait pas supporter qu’on perturbe son sommeil.
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
Bonne journée à toutes et tous
Premier weekend de septembre
sous le signe du soleil et de la chaleur
alors profitons des beaux jours,
les orages seront bientôt là
La vie est belle, aimons là.
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
Invité- Invité
Re: Les bonjours et contacts journaliers du Mois de Septembre 2016
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
Bonjour !
Aujourd'hui, nous fêtons les Rosalie ainsi que les Iris, Irma de Süchteln, Marin, Moïse et Moshé.
Demain, nous fêterons les Raïssa.
Le 4 septembre est le 247e jour de l'année du calendrier grégorien, le 248e en cas d'année bissextile. Il reste 118 jours avant la fin de l'année.
Écrit 4-Septembre (ou 4 Septembre), il indique la proclamation de la IIIe République française, au cours de la guerre de 1870. L'opposition parlementaire, surtout républicaine, menée par Léon Gambetta parvient à mettre en place un gouvernement provisoire, dit de « Défense nationale ». La République est proclamée le 4 septembre, au balcon de l’Hôtel de ville de Paris, quoiqu'elle le fût d'abord dans quelques villes de province (Lyon notamment).
C'était généralement le 18e jour du mois de fructidor dans le calendrier républicain français, officiellement dénommé jour du nerprun.
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
à Marseille :
le soleil se lève à 7h 06
le soleil se couche à 20h 07
durée d'ensoleillement : 13h 01 (-3mn)
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
Citation du jour !:« La médiocrité des ministres fait la puissance des parlements et l'impuissance des États. »
Émile Banning
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
Dicton du jour :
« Pluie de septembre, pluie de novembre, seront gelées en décembre. »
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
Proverbe du jour :
« Suis le conseil de celui qui te fait pleurer, et non de celui qui te fait rire. »
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
Événement du jour :
1346 : début du Siège de Calais.
Pendant la guerre de Cent Ans, le Roi de France Philippe de Valois et le roi d'Angleterre Edouard III se disputent la couronne de France. Après la défaite de Crécy le 26 août 1346, Edouard III qui ne songea qu'à rentrer en Angleterre, remonte vers le nord et arrive à Calais le 4 septembre 1346. C'est le début du siège de Calais qui dure 11 mois. La ville va rester sous domination britannique durant deux siècles.
1768 : naissance de François-René de Chateaubriand, écrivain et homme politique français.
François-René de Chateaubriand, naît à Saint-Malo le 4 septembre 1768. Auteur romantique, il reste surtout dans la postérité pour son œuvre posthume les "Mémoires d'outre-tombe", publiées en 1849. Il meurt à Paris le 4 juillet 1848.
1989 : Le père du commissaire Maigret n'est plus. Le romancier belge Georges Simenon s'est éteint à Lausanne, en Suisse, à l'âge de 86 ans, laissant le plus volumineux testament littéraire de notre époque. Georges Simenon laisse à la postérité quelque 300 ouvrages, dont plus de 220 romans signés de son nom, vendus à 500 millions d'exemplaires en 57 langues. Son uvre a donné naissance à 52 films et 269 téléfilms.
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
L'historiette :
Neige de Marie Dietrich
Voilà des jours que je marchais. La lumière chaude de la journée avait déjà cédé sa place à la nuit la plus noire plus d’une dizaine de fois. La durée de chaque jour était de plus en plus courte et les soirées de plus en plus longues. Et le froid gelait les os sous la peau. Je portais la main à mes lèvres que je gardais closes. La peau parcheminée qui les recouvraient avait cessé de me faire souffrir depuis quelques heures maintenant, mes lèvres étaient si glacées que je ne les sentais même plus. Mais le contact de mes doigts engourdis les réveilla en un instant et aussitôt, la douleur sourde recommença à me tourmenter.
[hide="Lire la suite de l'historiette... "]Les yeux à demi clos, j’avançais sous les flots de neige qui avaient commencé à tomber peu avant la disparition de la lumière du jour. Les flocons virevoltaient dans le ciel avant de se poser sur les branches des sapins ou de recouvrir d’une couche supplémentaire le bonhomme de neige dont je m’approchais. Son chapeau haut de forme et son nez de carotte seuls dépassaient de la masse de flocons, rappelant qu’il avait été façonné à l’image d’un homme avant d’être enseveli par la masse blanche qui tombait des nuages pour s’agglutiner en tas informes.
Avec un temps pareil, chaque pas était plus difficile que le précédent. À peine formées, mes traces de pas étaient aussitôt recouvertes d’une couche de neige glaciale et extirper son pied du sol pour faire le moindre pas était éreintant.
Mais je tiendrai bon.
Il y avait au bout du chemin une étoile qui me servait de guide. Un astre qui brillait si fort qu’en plein jour je le voyais encore. Ainsi quand les ténèbres nocturnes s’effaçaient, sa lumière providentielle me dirigeait toujours. Je savais au fond de moi qu’elle me menait vers un endroit meilleur, sans neige sans froid, peut-être même sans nuit.
Alors qu’il s’arrêtait de neiger, j’accélérais mon pas qui se libérait plus facilement de la croûte de glace qui formait le sol. Il fallait profiter de cette éclaircie qui ne pouvait durer. Comme redouté, le nuage arriva bien vite. Il était si grand qu’il obscurcissait la terre autour de moi. Je l’avais souvent vu. Comme toujours, il annonça le déchaînement des éléments. Courant vers l’arbre le plus proche, je me réfugiais sous ses branches tout en m’accrochant au tronc de toute la force que je pouvais encore trouver, me barbouillant au passage les bras de résine poisseuse et odorante. Puis arriva le tremblement de terre. Comme toujours.
Le sol vibrait avec vigueur, la neige chutait du haut-de-forme du bonhomme qui retrouvait ses formes de naguère à mesure que le séisme le secouait. Rentrant ma tête dans mes épaules, je priais pour qu’aucune branche de sapin, alourdie de ses amas de flocons blancs, ne me tombe sur le crâne.
Enfin, comme elle l’avait toujours fait, la terre cessa de trembler et la neige se remit à tomber de plus belle. Réajustant mon écharpe autour du cou, le temps était venu pour moi de me remettre en marche. Un pénible pas après l’autre, je tentais une fois encore de rejoindre l’étoile qui clignotait et restait étincelante.
Il n’y avait pas de vent alors que la neige tentait de recouvrir mon bonnet. Il n’y en avait jamais. Je n’osais même pas imaginer le froid qui me saisirait alors si jamais il y en avait eu. Mais dans cette solitude, je me plaisais à penser que le hurlement du vent sifflant dans mes oreilles aurait produit une douce mélodie m’accompagnant dans mon périple.
De temps en temps, je jurais percevoir au loin des rires d’enfants et des chœurs entonnant quelques cantiques de noël. Imaginés ou non, ils avaient le mérite de me réchauffer l’âme quand ma peau craquelait sous le froid. Dans le silence, je croyais également distinguer de temps à autre le crissement d’un papier que l’on déchire. C’est vers ces bruits que je me dirigeais, je voulais moi aussi participer à la joyeuse agitation que je devinais dans le lointain.
Soudain, je me retrouvais étalé à terre. Me frottant énergiquement le front pour atténuer la douleur d’une bosse naissante, je me relevais pour tenter de trouver ce qui avait bien pu provoquer ma chute. C’est alors que mes doigts rencontrèrent une surface lisse et transparente. Au-delà de cette vitre de verre, il ne neigeait plus. Un enfant gigantesque s’approchait en riant, son ombre recouvrait toute la surface de mon sol.
Le garçon saisi l’objet de verre qui me retenait prisonnier et, tout en chantonnant, secoua sa boule à neige.[/hide]
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
Bonne journée à toutes et tous
Dimanche le coq est sur ses ergots
et chante à tue tête au milieu de ses poules
il fait le beau lui, bombe le torse et s'égosille
Allez un dimanche tranquille de fin d'été.
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
Bonjour !
Aujourd'hui, nous fêtons les Rosalie ainsi que les Iris, Irma de Süchteln, Marin, Moïse et Moshé.
Demain, nous fêterons les Raïssa.
Le 4 septembre est le 247e jour de l'année du calendrier grégorien, le 248e en cas d'année bissextile. Il reste 118 jours avant la fin de l'année.
Écrit 4-Septembre (ou 4 Septembre), il indique la proclamation de la IIIe République française, au cours de la guerre de 1870. L'opposition parlementaire, surtout républicaine, menée par Léon Gambetta parvient à mettre en place un gouvernement provisoire, dit de « Défense nationale ». La République est proclamée le 4 septembre, au balcon de l’Hôtel de ville de Paris, quoiqu'elle le fût d'abord dans quelques villes de province (Lyon notamment).
C'était généralement le 18e jour du mois de fructidor dans le calendrier républicain français, officiellement dénommé jour du nerprun.
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
à Marseille :
le soleil se lève à 7h 06
le soleil se couche à 20h 07
durée d'ensoleillement : 13h 01 (-3mn)
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
Citation du jour !:« La médiocrité des ministres fait la puissance des parlements et l'impuissance des États. »
Émile Banning
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
Dicton du jour :
« Pluie de septembre, pluie de novembre, seront gelées en décembre. »
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
Proverbe du jour :
« Suis le conseil de celui qui te fait pleurer, et non de celui qui te fait rire. »
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
Événement du jour :
1346 : début du Siège de Calais.
Pendant la guerre de Cent Ans, le Roi de France Philippe de Valois et le roi d'Angleterre Edouard III se disputent la couronne de France. Après la défaite de Crécy le 26 août 1346, Edouard III qui ne songea qu'à rentrer en Angleterre, remonte vers le nord et arrive à Calais le 4 septembre 1346. C'est le début du siège de Calais qui dure 11 mois. La ville va rester sous domination britannique durant deux siècles.
1768 : naissance de François-René de Chateaubriand, écrivain et homme politique français.
François-René de Chateaubriand, naît à Saint-Malo le 4 septembre 1768. Auteur romantique, il reste surtout dans la postérité pour son œuvre posthume les "Mémoires d'outre-tombe", publiées en 1849. Il meurt à Paris le 4 juillet 1848.
1989 : Le père du commissaire Maigret n'est plus. Le romancier belge Georges Simenon s'est éteint à Lausanne, en Suisse, à l'âge de 86 ans, laissant le plus volumineux testament littéraire de notre époque. Georges Simenon laisse à la postérité quelque 300 ouvrages, dont plus de 220 romans signés de son nom, vendus à 500 millions d'exemplaires en 57 langues. Son uvre a donné naissance à 52 films et 269 téléfilms.
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
L'historiette :
Neige de Marie Dietrich
Voilà des jours que je marchais. La lumière chaude de la journée avait déjà cédé sa place à la nuit la plus noire plus d’une dizaine de fois. La durée de chaque jour était de plus en plus courte et les soirées de plus en plus longues. Et le froid gelait les os sous la peau. Je portais la main à mes lèvres que je gardais closes. La peau parcheminée qui les recouvraient avait cessé de me faire souffrir depuis quelques heures maintenant, mes lèvres étaient si glacées que je ne les sentais même plus. Mais le contact de mes doigts engourdis les réveilla en un instant et aussitôt, la douleur sourde recommença à me tourmenter.
[hide="Lire la suite de l'historiette... "]Les yeux à demi clos, j’avançais sous les flots de neige qui avaient commencé à tomber peu avant la disparition de la lumière du jour. Les flocons virevoltaient dans le ciel avant de se poser sur les branches des sapins ou de recouvrir d’une couche supplémentaire le bonhomme de neige dont je m’approchais. Son chapeau haut de forme et son nez de carotte seuls dépassaient de la masse de flocons, rappelant qu’il avait été façonné à l’image d’un homme avant d’être enseveli par la masse blanche qui tombait des nuages pour s’agglutiner en tas informes.
Avec un temps pareil, chaque pas était plus difficile que le précédent. À peine formées, mes traces de pas étaient aussitôt recouvertes d’une couche de neige glaciale et extirper son pied du sol pour faire le moindre pas était éreintant.
Mais je tiendrai bon.
Il y avait au bout du chemin une étoile qui me servait de guide. Un astre qui brillait si fort qu’en plein jour je le voyais encore. Ainsi quand les ténèbres nocturnes s’effaçaient, sa lumière providentielle me dirigeait toujours. Je savais au fond de moi qu’elle me menait vers un endroit meilleur, sans neige sans froid, peut-être même sans nuit.
Alors qu’il s’arrêtait de neiger, j’accélérais mon pas qui se libérait plus facilement de la croûte de glace qui formait le sol. Il fallait profiter de cette éclaircie qui ne pouvait durer. Comme redouté, le nuage arriva bien vite. Il était si grand qu’il obscurcissait la terre autour de moi. Je l’avais souvent vu. Comme toujours, il annonça le déchaînement des éléments. Courant vers l’arbre le plus proche, je me réfugiais sous ses branches tout en m’accrochant au tronc de toute la force que je pouvais encore trouver, me barbouillant au passage les bras de résine poisseuse et odorante. Puis arriva le tremblement de terre. Comme toujours.
Le sol vibrait avec vigueur, la neige chutait du haut-de-forme du bonhomme qui retrouvait ses formes de naguère à mesure que le séisme le secouait. Rentrant ma tête dans mes épaules, je priais pour qu’aucune branche de sapin, alourdie de ses amas de flocons blancs, ne me tombe sur le crâne.
Enfin, comme elle l’avait toujours fait, la terre cessa de trembler et la neige se remit à tomber de plus belle. Réajustant mon écharpe autour du cou, le temps était venu pour moi de me remettre en marche. Un pénible pas après l’autre, je tentais une fois encore de rejoindre l’étoile qui clignotait et restait étincelante.
Il n’y avait pas de vent alors que la neige tentait de recouvrir mon bonnet. Il n’y en avait jamais. Je n’osais même pas imaginer le froid qui me saisirait alors si jamais il y en avait eu. Mais dans cette solitude, je me plaisais à penser que le hurlement du vent sifflant dans mes oreilles aurait produit une douce mélodie m’accompagnant dans mon périple.
De temps en temps, je jurais percevoir au loin des rires d’enfants et des chœurs entonnant quelques cantiques de noël. Imaginés ou non, ils avaient le mérite de me réchauffer l’âme quand ma peau craquelait sous le froid. Dans le silence, je croyais également distinguer de temps à autre le crissement d’un papier que l’on déchire. C’est vers ces bruits que je me dirigeais, je voulais moi aussi participer à la joyeuse agitation que je devinais dans le lointain.
Soudain, je me retrouvais étalé à terre. Me frottant énergiquement le front pour atténuer la douleur d’une bosse naissante, je me relevais pour tenter de trouver ce qui avait bien pu provoquer ma chute. C’est alors que mes doigts rencontrèrent une surface lisse et transparente. Au-delà de cette vitre de verre, il ne neigeait plus. Un enfant gigantesque s’approchait en riant, son ombre recouvrait toute la surface de mon sol.
Le garçon saisi l’objet de verre qui me retenait prisonnier et, tout en chantonnant, secoua sa boule à neige.[/hide]
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
Bonne journée à toutes et tous
Dimanche le coq est sur ses ergots
et chante à tue tête au milieu de ses poules
il fait le beau lui, bombe le torse et s'égosille
Allez un dimanche tranquille de fin d'été.
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
Invité- Invité
Re: Les bonjours et contacts journaliers du Mois de Septembre 2016
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
Marseille Sormiou
Bonjour !
Aujourd'hui, nous fêtons les Raïssa.
Demain, nous fêterons les Bertrand de Garrigues ainsi que les Éva et Évelyne.
Le 5 septembre est le 248e jour de l'année du calendrier grégorien, le 249e en cas d'année bissextile. Il reste 117 jours avant la fin de l'année.
C'était généralement le 19e jour du mois de fructidor dans le calendrier républicain français, officiellement dénommé jour de la tagette.
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
à Marseille :
le soleil se lève à 7h 07
le soleil se couche à 20h 06
durée d'ensoleillement : 12h 58 (-3mn)
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
Citation du jour :
« Le gouvernement n'a pas de propositions à faire, mais des ordres à donner. »
Charles de Gaulle
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
Dicton du jour :
« Septembre se montre souvent comme un second et court printemps. »
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
Proverbe du jour :
« Qui pense au pire devine juste. »
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
Événement du jour :
1670 : Bossuet est nommé précepteur du Grand Dauphin Louis, le fils de Louis XIV.
Le prélat rédige pour son royal élève des grammaires française et latine, un Traité des causes, une Logique, une Morale, un livre d'initiation à la philosophie, De la connaissance de Dieu et de soi-même, une Politique tirée des propres paroles de l'Ecriture sainte. Il donne également une Histoire de France, objective, dénonçant la Saint Barthélemy. D'ailleurs, il compte sur l'histoire pour éduquer le Grand Dauphin dans l'art de "conduire les affaires". Il en tire une synthèse très élaborée intitulée Discours sur l'histoire universelle. Dans sa Politique tirée de l'Ecriture sainte.
1704 : naissance de Quentin de La Tour.
Maurice Quentin de La Tour naît le 5 septembre 1704 à Saint-Quentin. Peintre pastelliste
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
L'historiette :
Malheur aux vaincus de Yola
La victoire n'est jamais définitive. Jusqu'au bout, je devrai remonter sur le ring, malgré la lassitude. Lorsque je raccrocherai, ce sera pour de bon, vaincu par K.O debout. Jusque-là, mon adversaire ne me laissera pas de répit, remettant sans cesse son titre en jeu, lui qui n'a rien à perdre. Depuis le temps qu'on s'affronte, je connais sa tactique. Il fait mine de jeter l'éponge, de chercher un compétiteur à sa mesure, puis revient à la charge. Convaincu qu'il n'y a pas d'autre issue, je ravale ma rage et enfile une fois encore les gants. Assis dans le coin rouge, je jauge mon challenger, me mets en condition. Dès que le gong retentira, le manœuvrer, être plus rapide que lui, lui foutre la pression en permanence, ne pas le laisser prendre l'offensive.
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
Bonne journée à toutes et tous
Allez c'est parti pour une nouvelle semaine
et pour nos écolier, nos collégiens et lycéens
les choses sérieuses commencent
nous leur souhaitons une bonne année scolaire
Une année de réussite, une année de bonheur
avec l'insouciance de l'enfance et de la jeunesse.
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
La calanque de Sormiou, un site naturel
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
Marseille Sormiou
Bonjour !
Aujourd'hui, nous fêtons les Raïssa.
Demain, nous fêterons les Bertrand de Garrigues ainsi que les Éva et Évelyne.
Le 5 septembre est le 248e jour de l'année du calendrier grégorien, le 249e en cas d'année bissextile. Il reste 117 jours avant la fin de l'année.
C'était généralement le 19e jour du mois de fructidor dans le calendrier républicain français, officiellement dénommé jour de la tagette.
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
à Marseille :
le soleil se lève à 7h 07
le soleil se couche à 20h 06
durée d'ensoleillement : 12h 58 (-3mn)
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
Citation du jour :
« Le gouvernement n'a pas de propositions à faire, mais des ordres à donner. »
Charles de Gaulle
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
Dicton du jour :
« Septembre se montre souvent comme un second et court printemps. »
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
Proverbe du jour :
« Qui pense au pire devine juste. »
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
Événement du jour :
1670 : Bossuet est nommé précepteur du Grand Dauphin Louis, le fils de Louis XIV.
Le prélat rédige pour son royal élève des grammaires française et latine, un Traité des causes, une Logique, une Morale, un livre d'initiation à la philosophie, De la connaissance de Dieu et de soi-même, une Politique tirée des propres paroles de l'Ecriture sainte. Il donne également une Histoire de France, objective, dénonçant la Saint Barthélemy. D'ailleurs, il compte sur l'histoire pour éduquer le Grand Dauphin dans l'art de "conduire les affaires". Il en tire une synthèse très élaborée intitulée Discours sur l'histoire universelle. Dans sa Politique tirée de l'Ecriture sainte.
1704 : naissance de Quentin de La Tour.
Maurice Quentin de La Tour naît le 5 septembre 1704 à Saint-Quentin. Peintre pastelliste
- Lire la suite... :
- , il exécute de nombreux portraits des personnalités du XVIIIe siècle : Louis XV, Rousseau, Voltaire, Madame de Pompadour. Surnommé « prince des pastellistes », il fait partie des artistes les plus réputés à la cour du Roi Louis XV. D'un caractère assez particulier, il ne transmet pas ses savoirs faire, qui se perdent en partie près sa mort. Ses tableaux, très prisés avant la révolution sont invendables, après, tellement l'artiste a été engagé aux côtés des philosophes.
1798 : la Loi Jourdan rend le service militaire obligatoire pour tous les Français âgés de 20 à 25 ans.
1914 : Charles Péguy, écrivain français, meurt au combat, à Villeroy.
1972 : Un commando de terroristes palestiniens s'introduit dans le village olympique à Munich et investit les appartements occupés par la délégation israélienne. Un entraîneur et un athlète sont tués, puis les terroristes gardent en otage neuf autres membres de la délégation. En fin de soirée, trois hélicoptères partis du village olympique avec les Palestiniens, les otages et plusieurs officiels allemands, atterrissent dans un aérodrome militaire ; ils y sont accueillis par des tireurs d'élite. Les palestiniens mitraillent alors les otages et détruisent un hélicoptère. Neuf otages sont tués dans le massacre, en plus des cinq terroristes et un policier abattus. La tragédie aura donc fait en tout 17 morts.
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
L'historiette :
Malheur aux vaincus de Yola
La victoire n'est jamais définitive. Jusqu'au bout, je devrai remonter sur le ring, malgré la lassitude. Lorsque je raccrocherai, ce sera pour de bon, vaincu par K.O debout. Jusque-là, mon adversaire ne me laissera pas de répit, remettant sans cesse son titre en jeu, lui qui n'a rien à perdre. Depuis le temps qu'on s'affronte, je connais sa tactique. Il fait mine de jeter l'éponge, de chercher un compétiteur à sa mesure, puis revient à la charge. Convaincu qu'il n'y a pas d'autre issue, je ravale ma rage et enfile une fois encore les gants. Assis dans le coin rouge, je jauge mon challenger, me mets en condition. Dès que le gong retentira, le manœuvrer, être plus rapide que lui, lui foutre la pression en permanence, ne pas le laisser prendre l'offensive.
- Lire la suite de l'historiette... :
- Premier round, je me dérobe, me balance pour éviter qu'il ne m'atteigne. Rien à faire. Il s'économise, esquive habilement un jab à la tête, riposte par une rafale de directs au corps. Je suis à terre. J'entends l'arbitre scander les secondes: un, deux, trois, quatre, je dois me reprendre, cinq, six. Je me relève, titubant, porte un coup en aveugle au champion toutes catégories, sachant déjà que le verdict sera sans appel. Il me balade un moment, puis me pousse dans les cordes et me délivre une série de crochets du droit. Je suis sonné. À la dernière reprise, je tente le corps-à-corps ; l'accrocher s'il le faut, le neutraliser le plus longtemps possible. Me sentant à l'agonie, il se dégage et me cueille en uppercut. Touché de plein fouet, je m'écroule.
Dans l'obscurité de mon cerveau, une sirène hurle. Ambulance ? Une lumière verte, crue, douloureuse, me perce la rétine. Un écran à diodes clignote. Moniteur ECG ? J'ouvre péniblement les yeux. Mon radio-réveil affiche 7h30. Je me lève, la tête dans un étau, le corps moulu.
Un jour, je l'enverrai au tapis cette saloperie d'insomnie.
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
Bonne journée à toutes et tous
Allez c'est parti pour une nouvelle semaine
et pour nos écolier, nos collégiens et lycéens
les choses sérieuses commencent
nous leur souhaitons une bonne année scolaire
Une année de réussite, une année de bonheur
avec l'insouciance de l'enfance et de la jeunesse.
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
La calanque de Sormiou, un site naturel
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
Invité- Invité
Re: Les bonjours et contacts journaliers du Mois de Septembre 2016
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
Le Cap Canaille - La Ciotat
Bonjour !
Aujourd'hui, nous fêtons les Bertrand de Garrigues ainsi que les Éva et Évelyne.
Prénoms fêtés autrefois : Onésiphore.
Demain, nous fêterons les Reine ainsi que les Régine et Réjane.
Le 6 septembre est le 249e jour de l'année du calendrier grégorien, le 250e en cas d'année bissextile. Il reste 116 jours avant la fin de l'année.
C'était généralement le 20e jour du mois de fructidor dans le calendrier républicain français, officiellement dénommé jour de la hotte.
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
à Marseille :
le soleil se lève à 7h 08
le soleil se couche à 20h 04
durée d'ensoleillement : 12h 55 (-3mn)
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
Citation du jour :
« Chacun de nous a un jour, plus ou moins triste, plus ou moins lointain, où il doit enfin accepter d'être un homme. »
Jean Anouilh
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
Dicton du jour :
« En septembre, le raisin ou la figue pendent. »
« À la Saint-Onésiphore la sève s'endort. »
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
Proverbe du jour :
« Quand on s'approche trop près de sa passion, on se brûle les ailes. »
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
Événement du jour :
1683 : décès de Jean-Baptiste Colbert, homme politique français.
1787 : naissance d'Émilie de Rodat, religieuse française, fondatrice de la congrégation des Sœurs de la Sainte-Famille.
1802 : naissance d'Alcide Dessalines d'Orbigny, naturaliste, explorateur et paléontologue français.
2007 : Décès du grand ténor italien Luciano Pavarotti à l'âge de 71 ans. Avec ses habituels complices Placido Domingo et José Carreras, il a vendu plusieurs millions de disques classiques et a su populariser son art dans des stades combles.
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
L'historiette :
« Là... ! Sous la sapinette !... » de Dominique Hilloulin
La voix parle à un dictaphone :
— ...traces d’arsenic, polonium 210... !
Je me demande bien qu’est-ce que je fous ici, confiné en milieu stérile ! À travers mon environnement plastifié, je distingue mal les silhouettes inconnues qui se penchent sur moi, s’estompent, reviennent, discutent entre elles. Comme cette paire d’yeux entourés d’une charlotte blanche et d’un masque bucco-nasal genre Tchernobyl, à vingt centimètres de moi : regard fixe, scrutateur, presque soupçonneux. Odeur de labo.
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
Bonne journée à toutes et tous
Les jours passent comme une ritournelle
dans la douceur de septembre d'accord un peu chaud
mais tellement agréable, ça fait un bien fou ce soleil
mais nous, nous avons Mr Mistral qui attise les feux
un grand feu depuis hier entre Marseille et Cassis
dans nos belles calanques, mais quand ces pyromanes
arrêteront de sacrifier, au nom de quoi, notre nature
notre environnement, notre quotidien, mais quand
les punira t-on comme il se doit pour qu'ils arrêtent enfin.
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
Le plan des Calanques Marseille/Cassis
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
Le Cap Canaille - La Ciotat
Bonjour !
Aujourd'hui, nous fêtons les Bertrand de Garrigues ainsi que les Éva et Évelyne.
Prénoms fêtés autrefois : Onésiphore.
Demain, nous fêterons les Reine ainsi que les Régine et Réjane.
Le 6 septembre est le 249e jour de l'année du calendrier grégorien, le 250e en cas d'année bissextile. Il reste 116 jours avant la fin de l'année.
C'était généralement le 20e jour du mois de fructidor dans le calendrier républicain français, officiellement dénommé jour de la hotte.
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
à Marseille :
le soleil se lève à 7h 08
le soleil se couche à 20h 04
durée d'ensoleillement : 12h 55 (-3mn)
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
Citation du jour :
« Chacun de nous a un jour, plus ou moins triste, plus ou moins lointain, où il doit enfin accepter d'être un homme. »
Jean Anouilh
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
Dicton du jour :
« En septembre, le raisin ou la figue pendent. »
« À la Saint-Onésiphore la sève s'endort. »
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
Proverbe du jour :
« Quand on s'approche trop près de sa passion, on se brûle les ailes. »
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
Événement du jour :
1683 : décès de Jean-Baptiste Colbert, homme politique français.
1787 : naissance d'Émilie de Rodat, religieuse française, fondatrice de la congrégation des Sœurs de la Sainte-Famille.
1802 : naissance d'Alcide Dessalines d'Orbigny, naturaliste, explorateur et paléontologue français.
2007 : Décès du grand ténor italien Luciano Pavarotti à l'âge de 71 ans. Avec ses habituels complices Placido Domingo et José Carreras, il a vendu plusieurs millions de disques classiques et a su populariser son art dans des stades combles.
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
L'historiette :
« Là... ! Sous la sapinette !... » de Dominique Hilloulin
La voix parle à un dictaphone :
— ...traces d’arsenic, polonium 210... !
Je me demande bien qu’est-ce que je fous ici, confiné en milieu stérile ! À travers mon environnement plastifié, je distingue mal les silhouettes inconnues qui se penchent sur moi, s’estompent, reviennent, discutent entre elles. Comme cette paire d’yeux entourés d’une charlotte blanche et d’un masque bucco-nasal genre Tchernobyl, à vingt centimètres de moi : regard fixe, scrutateur, presque soupçonneux. Odeur de labo.
- Lire la suite de l'historiette... :
- L’homme poursuit :
— ...ozokérite...acide cyanhydrique.. !
De toute évidence, personne ici n’a la moindre intention de me toucher. En témoignent ces gants bleus qui me séparent de leurs doigts. De plus, mon état semble être grave, ou préoccupant, si je m’en tiens aux quelques bribes de phrases que je parviens à saisir : « il y en avait partout ! », «... ramassé à la pince à sucre ! », « oui, brûlé sur tout le bas »...
De fait, bien que je ne localise pas encore de douleur particulière, je peux me rendre compte de certains dégâts grâce au miroir des lunettes qui, à nouveau, m’auscultent en détail : visage orangé, tâches rouge sang sur ma tête, cassure nette au niveau bas. Sans parler de mes vêtements ! déchirés, maculés, combustés.
Cependant, je ne parviens toujours pas à comprendre ce qu’on veut vraiment de moi. Encore moins pourquoi on m’a enlevé de force de ce coin tranquille où, depuis quelques temps, je commençais à prendre mes habitudes, dans le quartier Allright, à l’Ouest de la ville. Endroit calme, parc de résidence huppée, un abri un peu en retrait, près de la haie d’atrovirens où jamais aucun personnel ne venait me déranger.
Pour tout vous dire, cet endroit privilégié me permettait d’admirer au quotidien celle qui , par le passé, m’avait tant consumé de son amour. Voilà ! c’est dit ! Betty Blue, épouse du maître des lieux, m’a longtemps emmené avec elle dans ses dîners mondains, rendu témoin de ses frasques, et même, une fois, fébrilement serré entre ses doigts soyeux ; sauf qu’un jour, après un dernier baiser de feu, elle m’a littéralement jeté !
Depuis, je me suis accommodé de mon existence dans ces lieux ; bien content de ne pas finir, comme certains autres, tragiquement, au caniveau...
Jusqu’à... cette fin d’après midi où Betty, s’approchant de mon espace au bras d’un de ses amis, vint dissimuler un objet inhabituel près de la haie. L’homme, volubile, enjoué, l’y aida tout en lui taquinant le creux des reins. Puis ils repartirent vers leurs frivolités auprès des autres invités, dans le grand salon.
Plus tard dans la nuit, j’entendis des haussements de voix, des fracas d’objets. Succédèrent des hurlements de panique et des apostrophes violentes...
Quelques minutes passèrent.
Soudain, depuis mon bord de gazon, je vis M. l’Ambassadeur accourir dans ma direction. Exsangue, vociférant à l’endroit de ses poursuivants, dévorés de haine, comme lui.
L’un d’entre eux, plongeant sa main dans la haie, tira. Monsieur Blue s’écroula net... à faible distance de moi !
Quand les différents services d’intervention ont fait irruption dans les jardins de l’Ambassade des États Munis, un impressionnant déploiement de forces a aussitôt maillé l’espace, cadenassé les issues, quadrillé le ciel, lasérisé la nuit et les fourrés.
— Centimètre par centimètre ! ai-je entendu ordonner par les musclés de la sécurité, un chien dans chaque allée !
Et c’est ainsi que, dans l’ouragan de cette collecte d'indices, la police scientifique m’a repéré, m’a isolé et m’a affublé d’un panonceau jaune portant la mention PPRV 1 (première proximité par rapport à la victime).
Autant l’avouer, quand j’ai senti l’haleine galvanisée des renifleurs canins, suivie du pas de charge des godillots, j’ai pris un teint plutôt cendré, sous le puissant halo des lampes torches et le crépitement des appareils photos !
Mais, ce qui m’a le plus marqué, avant d’être transporté ici, c’est l’exclamation triomphante d’un enquêteur me désignant :
— Là... sous la sapinette ! Écartez vous ! Et passez moi une pince !
Franchement, tout ce tintouin pour un simple mégot de Craven « A » qui a juste gardé sur lui les traces du dernier baiser de Betty !
Pas de quoi en faire un tabac !
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
Bonne journée à toutes et tous
Les jours passent comme une ritournelle
dans la douceur de septembre d'accord un peu chaud
mais tellement agréable, ça fait un bien fou ce soleil
mais nous, nous avons Mr Mistral qui attise les feux
un grand feu depuis hier entre Marseille et Cassis
dans nos belles calanques, mais quand ces pyromanes
arrêteront de sacrifier, au nom de quoi, notre nature
notre environnement, notre quotidien, mais quand
les punira t-on comme il se doit pour qu'ils arrêtent enfin.
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
Le plan des Calanques Marseille/Cassis
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
Invité- Invité
Re: Les bonjours et contacts journaliers du Mois de Septembre 2016
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
Chant à " Marie" chanté à Saint - Jean de Luz,
Des rues de cette ville au parvis de l'église de Ciboure en passant par Socoa,
et +++....Superbe..
Avec la participation de Chico et les Gypsis ,
CLIQUEZ CI -DESSOUS !
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
Re: Les bonjours et contacts journaliers du Mois de Septembre 2016
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
Trucage de films
C'est vraiment incroyable ce que l'on fait aujourd'hui avec les ordinateurs!
Lorsque vous regardez un film à la télévision ou au cinéma,
quelle partie de ce que vous voyez faisait partie du film original?
Combien d'éléments (paysages ou autres), pensez-vous, ont pu être ajoutés à la pellicule originale?
Difficile après ça de croire à ce que l'on voit. Et effrayant de penser aux manipulations
désormais possibles dans l’information" ou plutôt la "désinformation" ....
Dans certains cas, moins de la moitié de ce que vous voyez faisait partie de la prise de vue originale.
Tout le reste a été ajouté par ordinateur!
Pour vous en convaincre, regardez bien ce document
cliquez ci -dessous
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
Re: Les bonjours et contacts journaliers du Mois de Septembre 2016
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
Bonjour !
Aujourd'hui, nous fêtons les Reine ainsi que les Régine et Réjane.
Prénoms fêtés autrefois : Cloud.
Demain, nous fêterons La Nativité de la Vierge Marie ainsi que les Adrien et Adrienne.
Le 7 septembre est le 250e jour de l'année du calendrier grégorien, le 251e en cas d'année bissextile. Il reste 115 jours avant la fin de l'année.
C'était généralement le 21e jour du mois de fructidor dans le calendrier républicain français, officiellement dénommé jour de l'églantier.
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
à Marseille :
le soleil se lève à 7h 09
le soleil se couche à 20h 02
durée d’ensoleillement : 12h 53 (-3mn)
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
Célébrations de demain :
• Journée internationale de l'alphabétisation
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
Citation du jour :
« Comment veux-tu que je te comprenne ! ... Tu me parles à contre-jour. »
Georges Feydeau
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
Dicton du jour :
« Le 7 septembre, sème ton blé, car ce jour vaut du fumier. »
« À la Sainte-Reine sème tes graines. »
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
Proverbe du jour :
« On se repent souvent de parler, jamais de se taire. »
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
Événement du jour :
560 : décès de Clodoald (ou Clodoaldus), plus connu sous le nom de Saint Cloud.
Ce prince mérovingien du VIe siècle, est le petit fils de Clovis Ier. Il préfère renoncer à la royauté pour devenir ermite et moine. Par sa vie exemplaire, le peuple le vénère et l'Eglise le canonise. C'est même le premier prince franc à être canonisé.
1254 : Louis IX entre à Paris après la VIIème croisade.
Le Roi et son armée rentrent à Paris, après six années de croisade. Seize ans plus tard, il repart en croisade pour prendre sa revanche en Terre Sainte. La peste emporte Saint Louis le 25 août. Charles d'Anjou ramène alors en France le corps du Roi qui est enterré à Saint-Denis.
1812 : victoire de Napoléon à la bataille de la Moskova.
1936 : naissance du premier foyer de charité
1997 : L'ancien président zaïrois, le maréchal Mobutu Sese Seko, en exil depuis le 16 mai, meurt à l'âge de 66 ans d'un cancer de la prostate. En 1965, il avait pris le pouvoir du pays, appelé alors le Congo belge, à la suite d'un coup d'État contre le président Kasavubu, et il s'était proclamé président de la république l'année suivante.
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
L'historiette :
Sous la Prade de JHC
Nous allions souvent jouer au bord de la voie ferrée. A une vingtaine de minutes du village, le grand champ de la Prade se terminait par un coteau abrupt couvert de broussailles qui descendait jusqu’à la voie. Là, une barre rocheuse légèrement en surplomb formait une sorte de cavité peu profonde, abritée du soleil et de la pluie, et dont le sol sablonneux était assez confortable pour accueillir nos fonds de culottes de petits vacanciers.
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
Bonne journée à toutes et tous
Déjà mercredi les grands enfants et les petits
on reprend les habitudes ma Miss vient déjeuner
et ensuite je l'emmène chez elle ou chez ses copines
et moi je m'en vais au Magic Mirrors faire la distribution
des cadeaux de rentrée offerts par la municipalité.
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
Bonjour !
Aujourd'hui, nous fêtons les Reine ainsi que les Régine et Réjane.
Prénoms fêtés autrefois : Cloud.
Demain, nous fêterons La Nativité de la Vierge Marie ainsi que les Adrien et Adrienne.
Le 7 septembre est le 250e jour de l'année du calendrier grégorien, le 251e en cas d'année bissextile. Il reste 115 jours avant la fin de l'année.
C'était généralement le 21e jour du mois de fructidor dans le calendrier républicain français, officiellement dénommé jour de l'églantier.
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
à Marseille :
le soleil se lève à 7h 09
le soleil se couche à 20h 02
durée d’ensoleillement : 12h 53 (-3mn)
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
Célébrations de demain :
• Journée internationale de l'alphabétisation
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
Citation du jour :
« Comment veux-tu que je te comprenne ! ... Tu me parles à contre-jour. »
Georges Feydeau
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
Dicton du jour :
« Le 7 septembre, sème ton blé, car ce jour vaut du fumier. »
« À la Sainte-Reine sème tes graines. »
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
Proverbe du jour :
« On se repent souvent de parler, jamais de se taire. »
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
Événement du jour :
560 : décès de Clodoald (ou Clodoaldus), plus connu sous le nom de Saint Cloud.
Ce prince mérovingien du VIe siècle, est le petit fils de Clovis Ier. Il préfère renoncer à la royauté pour devenir ermite et moine. Par sa vie exemplaire, le peuple le vénère et l'Eglise le canonise. C'est même le premier prince franc à être canonisé.
1254 : Louis IX entre à Paris après la VIIème croisade.
Le Roi et son armée rentrent à Paris, après six années de croisade. Seize ans plus tard, il repart en croisade pour prendre sa revanche en Terre Sainte. La peste emporte Saint Louis le 25 août. Charles d'Anjou ramène alors en France le corps du Roi qui est enterré à Saint-Denis.
1812 : victoire de Napoléon à la bataille de la Moskova.
1936 : naissance du premier foyer de charité
1997 : L'ancien président zaïrois, le maréchal Mobutu Sese Seko, en exil depuis le 16 mai, meurt à l'âge de 66 ans d'un cancer de la prostate. En 1965, il avait pris le pouvoir du pays, appelé alors le Congo belge, à la suite d'un coup d'État contre le président Kasavubu, et il s'était proclamé président de la république l'année suivante.
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
L'historiette :
Sous la Prade de JHC
Nous allions souvent jouer au bord de la voie ferrée. A une vingtaine de minutes du village, le grand champ de la Prade se terminait par un coteau abrupt couvert de broussailles qui descendait jusqu’à la voie. Là, une barre rocheuse légèrement en surplomb formait une sorte de cavité peu profonde, abritée du soleil et de la pluie, et dont le sol sablonneux était assez confortable pour accueillir nos fonds de culottes de petits vacanciers.
- Lire la suite de l'historiette... :
- Bien sûr le train était dangereux, mais nous avions l’habitude de marcher le long d’une voie. Les locomotives étaient à vapeur. On entendait leur « tchou tchou » suffisamment à l’avance pour se garer sur le côté. De temps en temps, quand l’air était trop sec, les escarbilles envoyées par la chaudière allumaient des feux dans les taillis sur le bord des voies, mais ça n’était encore jamais arrivé sous la Prade. Toujours est-il que le secteur étant très escarpé, le détour par la route allongeait de beaucoup le trajet. Aussi empruntions-nous régulièrement le raccourci en suivant le chemin de fer.
Cet après-midi-là, comme tous les jours quand j’étais en vacances, après le repas de midi pris chez ma grand-mère, j’avais fait le tour du village pour retrouver les autres. Une sécheresse peu commune s’était abattue sur le Causse depuis trois semaines. L’un était parti avec son père pour remplir la citerne à la fontaine du bas, l’autre réparait sa mobylette... Les lyonnais avaient déserté leur maison. Je décidai alors d’aller voir sous la Prade.
J’y ai trouvé Gabriel. Lui, je ne le supportais pas bien. En bande, avec les autres, ça allait à peu près. Et encore... Il allait au lycée agricole. C’était le plus âgé d’entre nous. La veille, il m’avait pris ma casquette rouge pour me faire enrager. Moi, il fallait absolument que je l’aie pour me couvrir, sinon le soleil me donnait des maux de tête. Mais eux, ils avaient joué à faire des passes avec, puis Gabriel l’avait envoyée dans un arbre pour faire rigoler les filles, et moi j’avais dû grimper pour aller la chercher sous les quolibets du genre « parigot tête de veau ».
Quand je suis arrivé, Gabriel était seul, en train de se tailler un lance-pierre dans une branche fourchue de noisetier, pour dégommer les oiseaux, ceux qui mangent dans les semis... Je l’enviais un peu, parce que moi je n’avais pas le droit. Il m’a demandé où étaient les autres, puis il a dû dire un truc qui ne m’a pas plu, et on s’est embrouillés. Je l’ai planté là, et je suis reparti. Je sautais rageusement à grandes enjambées d’une traverse à la suivante au milieu des rails. Soudain dans mon dos le sifflet du train m’a fait sursauter, et je me suis rangé vite fait pour le laisser passer. J’ai bien vu qu’il avait laissé une petite flammèche de rien du tout qui rampait dans l’herbe. Mais ça ne m’a rien évoqué, j’avais envie d’aller jouer ailleurs... Ma colère passait, le soleil me chauffait le crâne et quelque chose bourdonnait dans mes oreilles de manière insistante. Je suis remonté sans me presser jusqu’à la grange de Couderc pour y trouver de l’ombre.
J’étais posté à la lucarne, en train de jouer au cow-boy solitaire, quand j’ai vu la fumée monter du fond de la Prade. Ça m’amusait que les Indiens fassent des signaux de fumée pour avoir mon scalp. J’entendais leurs horribles cris de guerre. Ensuite c’étaient les sirènes des pompiers et je suis allé voir. Tout le coteau était embrasé au bord de la voie. Le temps que j’arrive, trois camions avaient traversé le champ pour arroser par le haut. Ils ne m’ont pas laissé approcher. Je les ai vus sortir une forme enveloppée de plastique sur un brancard. Sur le coup je n’ai pas fait le rapprochement. Je suis rentré à la maison. Le corps sur la civière des pompiers, c’était Gabriel. Mémé venait de l’apprendre par une voisine. Elle était catastrophée. Il fallait qu’elle aille visiter la famille. Moi je ne voulais pas sortir. En fait je me demandais si j’aurais dû donner l’alerte... Mais à qui ? Les jours passèrent.
C’est seulement au matin de l’enterrement que j’ai vraiment réalisé que Gabriel était mort dans l’incendie sous la Prade. Pas brûlé vif, non : asphyxié par les fumées brûlantes quand le feu l’avait pris au piège sous l’abri du rocher. Dans l’église, il y avait un peu de fraîcheur. C’était supportable. Mais dehors il faisait encore trop chaud. J’ai salué la famille pour les condoléances. La suite, le cimetière... j’ai oublié. Je me souviens vaguement de la rentrée des classes. J’avais toujours une chaleur aux tempes, comme si mon crâne allait exploser, et je ne voulais plus aller à l’école. Ni hématome ni température. Rien à la radiographie... Mes parents m’ont envoyé consulter un psychologue.
Le docteur m’a répété que je n’y étais pour rien, pour Gabriel, que c’était le train. Il ne fallait pas que je me ronge... A mon âge je n’aurais pu ni éteindre le feu ni l’aider à s’en sortir. Que même si j’avais pu appeler des secours, ils seraient arrivés trop tard. Il disait aussi que le sujet de la dispute n’était pas anodin. Qu’il fallait que je me rappelle pourquoi nous nous étions querellés. J’essaie encore. Je crois que Gabriel se vantait de la manière dont il tuait les chats... Mais ça ne veut pas me revenir. Les médecins n’ont jamais réussi à soigner mes céphalées. Pourtant j’ai subi tous les examens possibles. Je m’y suis habitué, enfin si on peut dire... J’essaie de temps en temps un nouveau traitement, mais rien n’y fait.
Récemment je suis passé vers la Prade en voiture. Aujourd’hui il y a un pont de l’autoroute qui enjambe le chemin de fer, et une aire de repos remplace la prairie. Mais je n’avais pas le temps de m’arrêter parce que j’avais mes médicaments à prendre. Je pense que le psy avait raison : il ne faut pas que je laisse la culpabilité pourrir ma vie. N’empêche, quand je sens des brûlures à l’intérieur de ma tête, j’entends encore les cris de Gabriel.
Elle est harde aujourd'hui l'historiette
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
Bonne journée à toutes et tous
Déjà mercredi les grands enfants et les petits
on reprend les habitudes ma Miss vient déjeuner
et ensuite je l'emmène chez elle ou chez ses copines
et moi je m'en vais au Magic Mirrors faire la distribution
des cadeaux de rentrée offerts par la municipalité.
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
Invité- Invité
Re: Les bonjours et contacts journaliers du Mois de Septembre 2016
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
La saison des pommes
Bonjour !
Aujourd'hui, nous fêtons La Nativité de la Vierge Marie ainsi que les Adrien et Adrienne.
Demain, nous fêterons les Alain de la Roche ainsi que les Omer.
Le 8 septembre est le 251e jour de l'année du calendrier grégorien, le 252e en cas d'année bissextile. Il reste 114 jours avant la fin de l'année.
C'était généralement le 22e jour du mois de fructidor dans le calendrier républicain français, officiellement dénommé jour de la noisette.
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
à Marseille :
le soleil se lève à 7h 10
le soleil se couche à 20h 00
durée d'ensoleillement : 12h 50(-3mn)
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
Célébrations :
• Journée internationale de l'alphabétisation
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
Citation du jour :
« Qu'il faut donc aimer quelqu'un pour le préférer à son absence ! »
Jean Rostand
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
Dicton du jour :
« Le temps de la Nativité dure tout un mois sans variété. »
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
Proverbe du jour :
« Médecin, guéris-toi toi-même. »
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
Événement du jour :
1565 : délivrance de Malte occupée par les musulmans en la fête de la nativité de la Sainte Vierge.
1612 : fondation d'une ville française au Brésil, par Daniel de la Touche.
1760 : capitulation de Montréal.
1914 : apparition de Notre Dame à Paris.
1946 : naissance du Secours Catholique.
1949 : Richard Strauss, qualifié de dernier des grands compositeurs romantiques, meurt à l'âge de 85 ans. Il doit sa célébrité à ses opéras, tels Salomé, Elektra et Le chevalier à la rose, ainsi qu'à ses poèmes symphoniques, notamment Till l'espiègle et Ainsi parlait Zarathoustra, dont on pourra entendre un extrait dans le film 2001 : L'Odyssée de l'espace.
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
L'historiette :
Bon appétit ! de Caroli
Le 4 août 2015, à Canton, berceau de la cuisine chinoise, M. Wang prenait livraison de ses trois nouveaux serveurs et de son cuisiner spécialisé dans la fabrication des raviolis et des nouilles. Cela fit la une des journaux. Avant même la mise en marche des machines à apparence humaine, il remerciait courtoisement son personnel, leur souhaitait bonne chance pour trouver un nouvel emploi. Dans deux jours, ils allaient être remplacés par ces robots aux couleurs chatoyantes.
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
Bonne journée à toutes et tous
Un petit vent coulis comme dirait notre frisette
très agréable ce matin mais la chaleur
va arriver avec le soleil, journée entre amis
de prévues, le net pas trop pour moi
aujourd'hui place à la vie réelle.
Ne soyez pas très sages...
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
À l’approche de l’automne, les araignées montrent le bout de leurs pattes chez nous, provoquant quelques frayeurs chez certains ! Voici quelques astuces, quelques trucs naturels pour vous aider à préserver votre maison des araignées… plutôt que de les tuer.
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
La saison des pommes
Bonjour !
Aujourd'hui, nous fêtons La Nativité de la Vierge Marie ainsi que les Adrien et Adrienne.
Demain, nous fêterons les Alain de la Roche ainsi que les Omer.
Le 8 septembre est le 251e jour de l'année du calendrier grégorien, le 252e en cas d'année bissextile. Il reste 114 jours avant la fin de l'année.
C'était généralement le 22e jour du mois de fructidor dans le calendrier républicain français, officiellement dénommé jour de la noisette.
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
à Marseille :
le soleil se lève à 7h 10
le soleil se couche à 20h 00
durée d'ensoleillement : 12h 50(-3mn)
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
Célébrations :
• Journée internationale de l'alphabétisation
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
Citation du jour :
« Qu'il faut donc aimer quelqu'un pour le préférer à son absence ! »
Jean Rostand
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
Dicton du jour :
« Le temps de la Nativité dure tout un mois sans variété. »
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
Proverbe du jour :
« Médecin, guéris-toi toi-même. »
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
Événement du jour :
1565 : délivrance de Malte occupée par les musulmans en la fête de la nativité de la Sainte Vierge.
1612 : fondation d'une ville française au Brésil, par Daniel de la Touche.
1760 : capitulation de Montréal.
1914 : apparition de Notre Dame à Paris.
1946 : naissance du Secours Catholique.
1949 : Richard Strauss, qualifié de dernier des grands compositeurs romantiques, meurt à l'âge de 85 ans. Il doit sa célébrité à ses opéras, tels Salomé, Elektra et Le chevalier à la rose, ainsi qu'à ses poèmes symphoniques, notamment Till l'espiègle et Ainsi parlait Zarathoustra, dont on pourra entendre un extrait dans le film 2001 : L'Odyssée de l'espace.
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
L'historiette :
Bon appétit ! de Caroli
Le 4 août 2015, à Canton, berceau de la cuisine chinoise, M. Wang prenait livraison de ses trois nouveaux serveurs et de son cuisiner spécialisé dans la fabrication des raviolis et des nouilles. Cela fit la une des journaux. Avant même la mise en marche des machines à apparence humaine, il remerciait courtoisement son personnel, leur souhaitait bonne chance pour trouver un nouvel emploi. Dans deux jours, ils allaient être remplacés par ces robots aux couleurs chatoyantes.
- Lire la suite de l'historiette... :
- Le 6 août, Mme Li rendait son tablier fourni par le restaurant « Le Ciel de mai », où elle servait les clients dix heures par jour depuis six ans. Cette veuve prématurée rentrait chez elle, bien triste, se demandant comment faire pour trouver rapidement un nouvel emploi afin de payer les médicaments de son père malade et l’appartement qu’elle occupait avec lui et son fils de treize ans. C’est alors que perdue dans ses pensées, elle vit une seconde trop tard la voiture foncer sur elle. En sautant pour l’éviter, elle tomba lourdement sur le bord du trottoir. Le chauffeur la traita de noms assez grossiers dans sa langue ancestrale, avant de s’enfuir. Elle eut de la chance de ne passer que huit heures aux urgences. Mais elle devait désormais rembourser le coût des soins empruntés à sa cousine, et désespérait de pouvoir trouver un travail avec son bras cassé.
Le 7 août, les mignons petits robots commencèrent leur service. Ils mesuraient un mètre cinquante, étaient pourvus de jolis corps et visages tout en rondeurs, faits pour inspirer confiance et pour attirer la clientèle, ce qui fonctionna un maximum. Ils prenaient les commandes, apportaient bols et assiettes, les déposaient en souhaitant en cantonais « Bon appétit ! » d’une voie métallique. Comme cela ne se disait pas en Chine, tout le monde s’amusait beaucoup en les imitant. Le robot cuisinier était plus grand, carré et compact mais il fabriquait des nouilles comme personne. Le patron était aussi excité qu’à ses anniversaires passés d’enfant unique trop gâté. Il allait non seulement économiser le coût de la main d’œuvre mais doubler sa clientèle !
De septembre à novembre, la dette de Mme Li ne fit qu’augmenter. Elle trouva bien un travail, distribuer des bons promotionnels dans un immense centre commercial, mais le salaire était insuffisant pour ses dépenses courantes. Mme Li cessa d’acheter les médicaments du père. Elle expliqua à son fils qu’il devait pour un temps aller vivre chez cousine Liang, l’aida à faire sa valise et le conduisit à son train, le cœur brisé. Elle veilla le vieil homme chaque soir, lui racontant des souvenirs de son enfance, un peu enjolivés pour le présenter comme un papa attentionné. Il méritait bien cela. Il mourut doucement, baigné dans le sentiment d’une vie d’homme et de père accompli.
Quant au « Ciel de mai », rien n’allait plus. Certes, les premières semaines virent les clients curieux et amusés de la classe moyenne se presser aux tables du restaurant. Mais quand, pour la dixième fois de la journée, un homme d’affaires, une épouse ou un fils se prenait sur les genoux un bol entier de nouilles sautées, qu’elles soient aux légumes, au curry ou au porc sauce aigre douce, cela commença à se savoir. Les robots étaient nuls pour le service : ils renversaient la vaisselle, se percutaient constamment car ils ne pouvaient pas modifier leur itinéraire, étaient incapables de répondre même à des questions simples. Passé l’engouement du début, les clients désertèrent l’établissement.
En décembre, M. Wang dut admettre qu’il s’était trompé : les robots n’étaient pas prêts pour le service en salle.
Seul le robot assigné à des tâches répétitives en cuisine, surnommé Georges en l’honneur d’un grand chef français, s’en tirait plus que bien. Chaque robot avait coûté l’équivalent d’une année de salaire mais il fallait sauver le restaurant. Le patron décida alors de faire machine arrière et de rappeler ses anciens serveurs. Les deux premiers se montrèrent soulagés de reprendre du service. Quant à Mme Li, sa ligne téléphonique n’était désormais plus attribuée. Expulsée voilà trois semaines, elle dormait dans un minuscule réduit et économisait yuan après yuan pour rembourser sa dette et revoir son fils.
Ainsi à l’inverse de ses anciens collègues, elle échappa à de graves brûlures et à un vif choc émotionnel lors de l’incendie du restaurant provoqué par une surchauffe de Georges, ou plutôt de l’un de ses composants électroniques de qualité médiocre. Ce type d’accident causé par la défaillance d’un humanoïde n’était couvert par aucune clause de l’assurance.
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
Bonne journée à toutes et tous
Un petit vent coulis comme dirait notre frisette
très agréable ce matin mais la chaleur
va arriver avec le soleil, journée entre amis
de prévues, le net pas trop pour moi
aujourd'hui place à la vie réelle.
Ne soyez pas très sages...
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
À l’approche de l’automne, les araignées montrent le bout de leurs pattes chez nous, provoquant quelques frayeurs chez certains ! Voici quelques astuces, quelques trucs naturels pour vous aider à préserver votre maison des araignées… plutôt que de les tuer.
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
Invité- Invité
Re: Les bonjours et contacts journaliers du Mois de Septembre 2016
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
C'est un Papy qui vient de s'acheter une voiture neuve.
Il l'essaye sur l'autoroute puis il décide de la pousser à 160 kms/heure pour voir.
Au bout d'un moment dans le rétroviseur il s'aperçoit qu'un véhicule de
gendarmerie le suit, il accélère !!!
Les Gendarmes ont une voiture plus puissante et le doublent, ils le font garer
sur le côté.
Le chef descend du véhicule de police et lui dit :
-"160 KMS:HEURE !!!! Ça ne va pas Pépé !!!!!?
Il me reste 30 minutes pour finir mon service, je veux bien me montrer indulgent et passer
l'éponge à condition que vous me donniez un motif de cet excès de vitesse et surtout un
motif que je n'ai pas l'habitude d'entendre...
Sinon P.V et points en moins !" Le papy le regarde, réfléchit, et dit:
"Il y a longtemps ma femme s'est tirée avec un Gendarme,
et là quand je vous ai aperçu dans le rétro, je me suis dit :
" Bon Dieu ! Ça y est ! Il me la ramène !!! "
Le Papy est reparti sans P.V.
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
Re: Les bonjours et contacts journaliers du Mois de Septembre 2016
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
Vue aérienne d'Istres
Bonjour !
Aujourd'hui, nous fêtons les Alain de la Roche ainsi que les Omer.
Demain, nous fêterons les Inès Takeya ainsi que les Aubert.
Le 9 septembre est le 252e jour de l'année du calendrier grégorien, le 253e en cas d'année bissextile. Il reste 113 jours avant la fin de l'année.
C'était généralement le 23e jour du mois de fructidor dans le calendrier républicain français, officiellement dénommé jour du houblon.
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
à Marseille :
le soleil se lève à 7h 11
le soleil se couche à 19h 58
durée d'ensoleillement : 12h 47 (-3mn)
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
Citation du jour :
« Le beau est supérieur au sublime parce qu'il est permanent et ne rassasie pas ; tandis que le sublime est relatif, passager et violent. »
Henri-Frédéric Amiel
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
Dicton du jour :
« Qu'en septembre il tonne, la vendange est bonne. »
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
Proverbe du jour :
« Les hommes sont comme les chiffres; ils n'acquièrent de valeur que par leur position. »
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
Événement du jour :
1087 : décès de Guillaume le Conquérant, duc de Normandie et roi d'Angleterre.
1585 : naissance d'Armand-Jean du Plessis, Cardinal de Richelieu, prélat et homme d'État français.
1976 : Mao Tsé-toung, président du Parti communiste de Chine populaire, meurt à Pékin à l'âge de 82 ans. Il est l'un des fondateurs du Parti communiste chinois en 1921. Après la victoire communiste dans la guerre civile, Mao proclame la République populaire de Chine en 1949 ; il en sera le chef d'État de 1954 à 1959. Pendant l'hiver 1965-66 il lance, avec sa femme Chiang Ching et Lin Piao, la Révolution culturelle. Confirmé comme chef du parti en 1969, Mao Tsé-toung le restera jusqu'à sa mort.
1977 : dernière exécution capitale en France
Hamida Djandoubi, condamné à mort pour l'assassinat, avec tortures et viol, d'une jeune fille, est exécuté aux Baumettes à Marseille. C'est la dernière personne à être guillotinée dans une prison française. La peine de mort est abolie en France, le 30 septembre 1981. Après avoir autorisé l'assassinat des innocents dans le sein de leur mère le 17 janvier 1975 (voir la chronique du jour), la France renonce à faire payer aux assassins leur dette contractée vis-à-vis de la société.
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
L'historiette :
Les rochers suspendus de Isangeles
« Tabou. Enfant, nous ne comprenions pas ce mot. Il était la seule raison invoquée par les parents quand nous parlions des rochers suspendus. Nous en apercevions la magnificence quand nous prenions la route vers Gaborone. À chaque fois, notre petit convoi de voitures tout-terrain empruntait la piste de terre rouge qui nous permettait de rejoindre la route goudronnée à quelques heures de notre campement. Nos parents travaillaient tous pour la même entreprise européenne. Le paysage incroyable berçait nos enfances depuis trois ans déjà. Nous devions rejoindre nos pays respectifs pour la rentrée suivante. Alors nous avions pris notre décision. En ce jour ensoleillé, nous marchions dans le bush, sacs au dos, en direction du lieu interdit. Le Grand menait la marche. Le Costaud, son frère, le suivait. Quant à moi, le plus Jeune, à peine âgé de dix ans, je fermais la petite colonne.
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
Bonne journée à toutes et tous
Déjà le weekend se profile à l'horizon
pour moi il sera assez chargé
fête de l'étang, course d'intégration
je pense que dimanche après-midi
je ferai une bonne sieste...
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
Istres le Port des Heures Claires
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
Vue aérienne d'Istres
Bonjour !
Aujourd'hui, nous fêtons les Alain de la Roche ainsi que les Omer.
Demain, nous fêterons les Inès Takeya ainsi que les Aubert.
Le 9 septembre est le 252e jour de l'année du calendrier grégorien, le 253e en cas d'année bissextile. Il reste 113 jours avant la fin de l'année.
C'était généralement le 23e jour du mois de fructidor dans le calendrier républicain français, officiellement dénommé jour du houblon.
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
à Marseille :
le soleil se lève à 7h 11
le soleil se couche à 19h 58
durée d'ensoleillement : 12h 47 (-3mn)
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
Citation du jour :
« Le beau est supérieur au sublime parce qu'il est permanent et ne rassasie pas ; tandis que le sublime est relatif, passager et violent. »
Henri-Frédéric Amiel
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
Dicton du jour :
« Qu'en septembre il tonne, la vendange est bonne. »
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
Proverbe du jour :
« Les hommes sont comme les chiffres; ils n'acquièrent de valeur que par leur position. »
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
Événement du jour :
1087 : décès de Guillaume le Conquérant, duc de Normandie et roi d'Angleterre.
1585 : naissance d'Armand-Jean du Plessis, Cardinal de Richelieu, prélat et homme d'État français.
1976 : Mao Tsé-toung, président du Parti communiste de Chine populaire, meurt à Pékin à l'âge de 82 ans. Il est l'un des fondateurs du Parti communiste chinois en 1921. Après la victoire communiste dans la guerre civile, Mao proclame la République populaire de Chine en 1949 ; il en sera le chef d'État de 1954 à 1959. Pendant l'hiver 1965-66 il lance, avec sa femme Chiang Ching et Lin Piao, la Révolution culturelle. Confirmé comme chef du parti en 1969, Mao Tsé-toung le restera jusqu'à sa mort.
1977 : dernière exécution capitale en France
Hamida Djandoubi, condamné à mort pour l'assassinat, avec tortures et viol, d'une jeune fille, est exécuté aux Baumettes à Marseille. C'est la dernière personne à être guillotinée dans une prison française. La peine de mort est abolie en France, le 30 septembre 1981. Après avoir autorisé l'assassinat des innocents dans le sein de leur mère le 17 janvier 1975 (voir la chronique du jour), la France renonce à faire payer aux assassins leur dette contractée vis-à-vis de la société.
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
L'historiette :
Les rochers suspendus de Isangeles
« Tabou. Enfant, nous ne comprenions pas ce mot. Il était la seule raison invoquée par les parents quand nous parlions des rochers suspendus. Nous en apercevions la magnificence quand nous prenions la route vers Gaborone. À chaque fois, notre petit convoi de voitures tout-terrain empruntait la piste de terre rouge qui nous permettait de rejoindre la route goudronnée à quelques heures de notre campement. Nos parents travaillaient tous pour la même entreprise européenne. Le paysage incroyable berçait nos enfances depuis trois ans déjà. Nous devions rejoindre nos pays respectifs pour la rentrée suivante. Alors nous avions pris notre décision. En ce jour ensoleillé, nous marchions dans le bush, sacs au dos, en direction du lieu interdit. Le Grand menait la marche. Le Costaud, son frère, le suivait. Quant à moi, le plus Jeune, à peine âgé de dix ans, je fermais la petite colonne.
- Lire la suite de l'historiette... :
- Nos pieds, poussés par l’insouciance de l’enfance, soulevaient la poussière rouge qui annonçait le désert du Kalahari. La végétation se faisait de plus en plus rare, les arbres laissant la place à des touffes d’herbes couleur paille. Vers la mi-journée, alors que le soleil, haut dans le ciel, atteignait la verticale, nous arrivâmes sur les lieux. Les rochers suspendus, surgissant de nulle part, isolés au centre d’une plaine ocre ridée comme le visage d’un très vieil homme, nous observaient en silence. Le sable céda peu à peu la place à une roche orangée qui montait doucement. Au milieu de cette plateforme naturelle se dressait un ensemble singulier de blocs en équilibre. Une pleine heure fut nécessaire pour en faire le tour. Ils culminaient à plusieurs mètres au-dessus de nous. Certaines pierres, énormes, tenaient debout sur une minuscule rondelle de quelques centimètres de diamètre. Nous prîmes place à l’ombre relative des rochers. Après le repas composé de sandwichs, de chips et de fruits, la fatigue eût raison de nous. Je fus le dernier à sombrer dans les bras d’une sieste bienvenue.
Un mal de tête atroce me réveilla. Les aiguilles de ma montre semblaient bloquées, la trotteuse buttant sur la même seconde, encore et encore. Je me tournai vers mes compagnons... qui n’étaient plus là. Je fus aussitôt sur mes pieds et me mis à crier leur nom, en vain. Le soleil me donnait l’heure : trois heures de l’après-midi. Le mal de tête me lançait terriblement, m’obligeant à maintenir les yeux mi-clos, alors qu’un poids étrange rendait ma respiration difficile. Le paysage ondulait sous une chaleur qui écrasait tout, comme si une main puissante tentait de broyer les alentours. Des gouttes de sueur tombèrent sur le roc qui avala goulûment l’eau salée. Mon regard se posa sur le sable d’une petite entrée au centre d’une arche, qui avait l’air bien fraîche. Peut-être que mes amis avaient trouvé refuge là-bas, n’osant pas me réveiller ? En m’approchant, les traces de pas de mes camarades confirmèrent mon intuition : ils avaient pénétré à l’intérieur, plus à l’ombre. J’avalais ma salive. Je criais. Pas de réponse. J’hésitais, longuement, dansant d’un pied sur l’autre, me passant les mains plusieurs fois sur le visage. Je sortis un canif pour entailler la roche, constatait que la marque était visible et m’engageai alors à l’intérieur de la structure, la lame sur la pierre. Il me fallut un certain temps pour les retrouver à l’intérieur de ce véritable labyrinthe oppressant, dont des passages étaient si étroits que je devais ramper pour avancer. Le Costaud et le Grand crièrent mon nom quand je débouchai dans la petite grotte à ciel ouvert où ils se reposaient. Un grand trou ouvert sur un ciel limpide. Le soleil restait accroché aux dents pointues du rebord, sans bouger, même après plusieurs minutes d’observation, au fond de cette marmite, l’ombre n’évoluait pas. L’un de nous fit remarquer la ressemblance avec une bouche féroce. Notre rire forcé traduisait notre angoisse. Sans demander notre reste, nous prîmes le chemin du retour. Hélas, je n’arrivais pas à trouver les marques. Le Grand regarda sa boussole. Elle tournait dans tous les sens. Je pestais, entaillant la roche. Des petits morceaux tombèrent sur le sable mais la marque s’estompa sous nos yeux incrédules. La peur commença à s’emparer de nos âmes. Le mal de tête s’accentuait. Le Costaud fut pris d’une série de hauts le cœur et vomit son repas alors que le Grand, appuyé contre la paroi, le souffle court, avait le visage couvert par la sueur d’une fièvre aussi soudaine que malsaine. Mon nez se mit à saigner abondamment. La roche semblait boire les gouttes qui s’écrasaient au sol, parmi les éclats de rochers, restes de l’entaille que j’avais tenté de faire quelques minutes auparavant. Un soudain espoir m’étreignit. Oui, là-bas, dans le tunnel le plus à gauche, les mêmes petits gravats. D’un pas rapide nous les suivîmes pour enfin déboucher à l’air libre. Sans un mot, sans un regard en arrière nous avons détalé vers le campement, brûlant nos dernières forces dans une course désespérée pour rejoindre la réalité, ignorant les griffures des épineux, avant de déboucher sur une plaine ocre, ridée comme le visage d’un très vieil homme, et au centre, nous observant en silence, les rochers suspendus.
Le mal de tête est revenu, nous luttons pour ne pas retourner à l’ombre des rochers... Je couche ces derniers mots que je vais glisser dans une bouteille avant de l’accrocher solidement à un arbre. Nous partirons chacun vers un point cardinal différent. Peut-être que l’un de nous aura la chance de s’en sortir... »
Seule partie lisible d’un message trouvé en 1995 par des prospecteurs d’uranium dans une région du Botswana.
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
Bonne journée à toutes et tous
Déjà le weekend se profile à l'horizon
pour moi il sera assez chargé
fête de l'étang, course d'intégration
je pense que dimanche après-midi
je ferai une bonne sieste...
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
Istres le Port des Heures Claires
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
Invité- Invité
Re: Les bonjours et contacts journaliers du Mois de Septembre 2016
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
Quand on explique, on comprend ! Et tout devient simple !
De récentes études le confirment : les femmes ont un champ visuel plus large que celui des hommes.
Elles voient tout !
Cette particularité remonte, paraît-il, aux temps préhistoriques où durant des millénaires, les femmes ont dû tout surveiller dans la grotte (le feu, les marmots, les prédateurs) pendant que l'homme allait au mammouth, loin du foyer.
Ce qui explique, au passage, la raison pour laquelle l'homme réussit toujours à retrouver sa tanière alors que la femme est un peu paumée dès qu'on lui met une carte routière entre les mains. C'est connu.
Ce particularisme peut aussi éclairer une question de société revenue soudain au devant de l'actualité : qui fait le ménage à la maison ?
L'homme, en raison de la faiblesse de son champ visuel, souffre d'un handicap manifeste. Depuis l'antiquité, il a dû mettre la main en visière pour regarder au loin l'état de la mer, le vol des oiseaux et le profil des nuages pour son labeur quotidien.
Il a développé une acuité lointaine donc intelligente, qui, par ricochet, a réduit son champ visuel périphérique et sa capacité à bien distinguer certains détails de près.
Ainsi la femme dit à l'homme: « Tu vois la poussière, là ? »
Et l'homme répond invariablement: « De la poussière, où ça ?... »
C'est scientifiquement prouvé, l'homme ne voit pas la poussière alors qu'il voit très bien, au loin, la marque
> de la nouvelle voiture du voisin, ou le string de la voisine,... comme au temps où il chassait l'antilope, jadis.
Cette étroitesse du champ visuel explique aussi la raison pour laquelle l'homme n'est pas fait pour la vaisselle. 83,67 % des assiettes ébréchées sont directement en lien avec cette incapacité de l'homme à bien distinguer tous les obstacles angulaires situés entre l'évier et le placard.
Bing !...
Et souvent la femme doit intervenir- « Laisse, je vais le faire moi-même.»- consciente de la déficience visuelle de son compagnon chasseur.
Ce handicap se vérifie aussi dans le test du frigo.
L'homme est capable de trouver les aliments dont il connaît le pré-positionnement dans l'espace, comme, par exemple, les bières ou les glaçons.
En revanche, le test de la plaquette de beurre est implacable.
L'homme ouvre le frigo. Conscient de l'étroitesse de son champ orbital, il regarde à droite, à gauche, en haut, en bas. Mais du coup, il ne pense pas à regarder au milieu, là où justement se trouve la plaquette de beurre.
Et ne parlons pas de la machine à laver et de sa programmation réservée à des êtres qui voient de près.
L'homme voit loin et c'est ce qui fait sa puissance.
Alors devant tant d'évidences, peut-être faut-il cesser d'évoquer le machisme ou la fainéantise en parlant de la réticence de l'homme à exécuter certaines tâches ménagères... scientifiquement reconnues au-dessus de ses forces.
C'est juste une question de champ visuel inadapté à l'étroitesse du territoire domestique.
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
Re: Les bonjours et contacts journaliers du Mois de Septembre 2016
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
QUELQUES CONSEILS ! SONGEZ À…
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
1) Bien vous protéger du soleil avec un parasol…
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
2) Ou au minimum une casquette…
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
3) Vous vêtir en tenue légère et aérée…
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
4) Bien vous hydrater…
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
5) Et enfin, songez à un petit barbecue le soir…
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
Re: Les bonjours et contacts journaliers du Mois de Septembre 2016
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
Étiquetage sur les Fruits
Retenez "code à 5 chiffres et commençant par le chiffre 9"
Voici ce que les étiquettes sur vos fruits signifient : faites attention !
Lorsque vous achetez des fruits, vous avez sûrement remarqué les étiquettes dessus et vous vous êtes demandé ce qu’elles signifiaient.
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
1- Si l'étiquette comporte 4 chiffres commençant par 3 ou 4 cela signifie que le fruit a été cultivé en culture intensive, à savoir avec des engrais chimiques.
2- Si le produit dispose de 5 chiffres, commençant avec le numéro 9, cela signifie que le produit a été cultivé de façon traditionnelle, sans pesticides et sans fumier.
Ceci est le meilleur produit.
3- Si le produit dispose de 5 chiffres, dont le premier numéro est de 8, le produit a été génétiquement modifiée, vous devez donc l’éviter.
Par conséquent, soyez extrêmement prudent lorsque vous achetez vos produits la prochaine fois que vous ferez des courses !
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
Page 1 sur 3 • 1, 2, 3
Sujets similaires
» Les bonjours et contacts journaliers du Mois de Septembre 2017
» Les bonjours et contacts journaliers du Mois de Mai 2016
» Les bonjours et contacts journaliers du Mois de Janvier 2016
» Les bonjours et contacts journaliers du Mois de Juiillet 2016
» Les bonjours et contacts journaliers du Mois de Février 2016
» Les bonjours et contacts journaliers du Mois de Mai 2016
» Les bonjours et contacts journaliers du Mois de Janvier 2016
» Les bonjours et contacts journaliers du Mois de Juiillet 2016
» Les bonjours et contacts journaliers du Mois de Février 2016
Page 1 sur 3
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
|
|