Les bonjours et contacts journaliers du Mois de Février 2017

Bonjour, bonjour,

Février se passe et finalement
moins mauvais que janvier au point de vu du temps
Les jours ont bien allongés et ça remonte le moral
les envies de sortir et de promenade me démangent
Bon mercredi avec ou sans enfants et petits enfants

Des ondes positives aux malades de notre forum
de bonnes vacances à ceux qui y sont,
profitez bien de la vie et des moments qu'elles vous offrent.

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Bien du temps a passé

Bien du temps a passé, pourtant rien n'a changé
Sur cette jolie plage abritée par les dunes,
Il me semble y revoir nos deux corps allongés
Et tes mains affamées caressant ma peau brune...

Bien du temps a passé, mais la mer est la même,
Celle qui ondoyait sous ses reflets d'azur,
Quand les vagues venaient épier nos "je t'aime"
Et que je me noyais dans ton regard si pur...

Bien du temps a passé, ponctué d'arcs-en-ciel,
Et les embruns sont là, promenés par la brise,
Comme quand nos baisers avaient un goût de sel
Prémices des douceurs que l'on trouvait exquises...

Bien du temps a passé, tout est resté pareil,
Et la mer sur le sable efface les empreintes,
Mais mon corps, un peu las, doré par le soleil,
Ne connaît plus l'émoi de nos folles étreintes...

Bien du temps a passé, un jour tu m'as quittée,
Puis la faucheuse a su t'enfermer dans sa cage
Et moi je continue à venir chaque été,
Rides au coin des yeux, pleurer sur cette plage...

Bien du temps a passé, pourtant rien n'a changé
Sur cette jolie plage abritée par les dunes,
Il me semble y revoir nos deux corps allongés
Et tes mains affamées caressant ma peau brune...
(Isis30)

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Bonjour, bonjour,

La nuit nous enveloppe de ses bras protecteurs
tout est silence, propice au repos et au bien être
Le café se prépare pour qu'il soit tout chaud à votre réveil.
C'est déjà jeudi et on commence à parler weekend
Les jours plus longs, meilleurs, la nature frémit et reprend vie,
Bon jeudi les amis forumeurs.

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Calanque de Port Miou - Cassis

Dans notre bar, je t'attendais

Yeux charbonneux, bouche cerise
Mini jupe qui dénudait
Mes jambes gainées de soie grise,
Dans notre bar, je t’attendais…

Indifférente à ce garçon,
Assis à la table à côté
Et à son regard polisson
Impatiemment je te guettais…

Anxieuse et un peu fébrile
Je pensais à ces turbulences,
A ces nuages imbéciles,
Qui menaçaient notre romance…

Mai découvrait ses blancs lilas,
L’air embaumait le muguet tendre,
Le garçon était toujours là,
Mais toi tu te faisais attendre…

Que tu puisses en aimer une autre,
Je ne pouvais l'envisager
Et dans ce bar qui était nôtre
Mon voisin me dévisageait...

Le temps passait, imperturbable,
Et l’angoisse en moi s’installait,
Le verdict était implacable,
Ton amour s’en était allé…

Il me fallait baisser les armes,
Je n’allais plus te supplier…
A travers un rideau de larmes,
Le beau garçon me souriait…

Yeux charbonneux, bouche cerise
Mini jupe qui dénudait
Mes jambes gainées de soie grise,
Dans notre bar, je t’attendais…
Isis (février 2010)

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Époustouflant !!!!!!!!!!!!.
Le juge manque de tomber de sa chaise TERRIFIÉ quand une candidate de 14 ans effectue CECI sur scène...


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Saut d'un avion sans parachute


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Bonjour, bonjour,

C'est aujourd'hui dimanche et mes filles viennent déjeuner avec nous
Un beau dimanche de février ou l'hiver se fait tout tendre
en attendant le printemps qu'on espère tous et qu'on attend.
Le café est là qui nous attend, qui en veut... il est tout frais et chaud.

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Mes larmes en sursis

Mes larmes toujours en sursis,
Par trop de stress et d’émotion
J’essaie de vivre comme si
Mon spleen était en rémission…

Et ces larmes que je repousse,
Quand elles veulent s’échapper
Je les sens revenir en douce,
C’est dur de retrouver la paix…

Il paraît que c’est le printemps
Mais pourtant lui aussi il pleure,
Et cette pluie que j’aimais tant
Aujourd’hui elle me fait peur

Reviendront- ils les jours d’été
Sans un nuage à l’horizon ?
Retrouverai-je la gaieté
Qui ensoleillait ma maison ?,

Ces larmes toujours en sursis,
Vont-elles se tarir un jour ?
J’aimerais qu’il en soit ainsi
Avant le point de non-retour.
J.L.C

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Bonjour, bonjour

et c'est reparti pour une semaine
et presque la dernière de février
je suis dans mes comptes,
j'ai rattrapé le retard... ouf !
Petite semaine tranquille
Hier belle balade au soleil dans la garrigue

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À sa lyre

Naguiere chanter je voulois
Comme Francus au bord Gaulois
Avecq' sa troupe vint descendre,
Mais mon luc pinçé de mon doi,
Ne vouloit en dépit de moi
Que chanter Amour, et Cassandre.

Je pensoi pource que toujours
J'avoi dit sur lui mes amours,
Que ses cordes par long usage
Chantoient d'amour, et qu'il faloit
En mettre d'autres, s'on vouloit
Luy aprendre un autre langage.

Et pour ce faire, il n'y eut fust,
Archet, ne corde, qui ne fust
Echangée en d'autres nouvelles :
Mais apres qu'il fut remonté,
Plus haut que davant a chanté
Comme il souloit, les damoyselles.

Or adieu doncq' pauvre Francus,
Ta gloire, sous tes murs veinqus,
Se cachera toujours pressée,
Si, à ton neveu, nostre Roi,
Tu ne dis qu'en l'honneur de toi,
Il face ma Lyre crossée.
Pierre de Ronsard.

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Bonjour, bonjour,

G et frisette ils ne leurs restent plus que 21 jours
la quille approche et eux les routes de France
Notre Capitaine semble aller mieux,
continue sur cette voie ça devient bon
sans oublier notre Kriss qui souffre dans sa chair
et des ondes positives à tous nos malades du forum.

Je viens de boire mon premier café
et j'ai un peu, beaucoup ce matin la tête dans le luc
dans un moment ça ira mieux, faut que j'avance
j'ai pas mal de choses à faire sur mon PC

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Il faisait bon sous les ombrages

Il faisait bon sous les ombrages,
En ce mois d’août au firmament,
Nous échangions mille serments
A l'abri dans les verts feuillages…

La rivière, en doux murmure,
Nous berçait de son doux tempo,
Et tes lèvres contre ma peau,
Avaient la saveur de la mûre…

Mon cœur battait un peu trop vite,
Et sous tes baisers insistants,
Mon corps vaincu et palpitant
Te retenait comme une invite…

Tes mains qui en voulaient encore
Me procuraient mille délices,
Tendres et délicieux prémices,
De la fusion de nos deux corps…

Le soleil semblait se cacher
Mais il nous épiait en douce
Et sur notre tapis de mousse
Tendrement nous restions couchés

Ce jour là, la fille si sage,
Aimant les Beatles, les sorties,
Venait de jeter aux orties
Jupe plissée et blanc corsage…

Il faisait bon sous les ombrages,
C’était il y a bien longtemps…
Nous avions tous deux dix-huit ans…
Y penses-tu dans tes nuages ?
JLC

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Bonjour, bonjour,

Aujourd'hui, peut être une journée tranquille
Hier après le resto, nous sommes allées
à l'arrivée du Tour de Provence, moments sympas...
On a rencontré Poulidor, il ne change pas notre poupou
La collation a permis de bien discuter avec le staff des coureurs
et autres invités, c'est toujours sympa ces réunions d'après-coup.

Nous pensons à tous nos malades et leurs envoient des ondes positives

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Le dormeur du Val

C'est un trou de verdure où chante une rivière,
Accrochant follement aux herbes des haillons
D'argent ; où le soleil, de la montagne fière,
Luit : c'est un petit val qui mousse de rayons.

Un soldat jeune, bouche ouverte, tête nue,
Et la nuque baignant dans le frais cresson bleu,
Dort ; il est étendu dans l'herbe, sous la nue,
Pâle dans son lit vert où la lumière pleut.

Les pieds dans les glaïeuls, il dort. Souriant comme
Sourirait un enfant malade, il fait un somme :
Nature, berce-le chaudement : il a froid.

Les parfums ne font pas frissonner sa narine ;
Il dort dans le soleil, la main sur sa poitrine,
Tranquille. Il a deux trous rouges au côté droit.
Arthur Rimbaud

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Bonjour, bonjour,

Février s'avance gentiment
et se prépare à partir dans les méandres du temps
Nous passons en sa compagnie des jours ensoleillés
le Printemps en avance et c'est avec joie que nous
baladons dans nos belles collines, la garrigue est à nous.
Le café se prépare et nous allons l'apprécier
le premier café est toujours le bienvenu.

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Ami Z

Ami Z, tu m'es présent en cette solitude.
Quand le ciel, mon problème, et l'homme, mon étude,
Quand le travail, ce maître auguste et sérieux,
Quand les songes sereins, profonds, impérieux,
Qui tiennent jour et nuit ma pensée en extase,
Me laissent, dans cette ombre où Dieu souffle et m'embrase,
Un instant dont je puis faire ce que je veux,
Je me tourne vers toi, penseur aux blancs cheveux,
Vers toi, l'homme qu'on aime et l'homme qu'on révère,
Poète souriant, historien sévère !
Je repasse, bonheur pourtant bien incomplet,
Par tous les doux sentiers d'un souvenir qui plaît.
Ton Henri, — ton fils Pierre, ami de mon fils Charles,
— Et ta femme, — ange heureux qui rêve quand tu parles,
Je me rappelle tout : ton salon, tes discours,
Et nos longs entretiens qui font les soirs si courts,
Ton vénérable amour que jamais rien n'émousse
Pour toute belle chose et toute chose douce !
Maint poème charmant que nous disait ta voix
M'apparaît... — Mon esprit, admirant à la fois
Tant de jours sur ton front, tant de grâce en ton style,
Croit voir un patriarche au milieu d'une idylle !

Ainsi tu n'es jamais loin de mon âme, et puis
Tout me parle de toi dans ces champs où je suis ;
Je compare, en mon coeur que ton ombre accompagne,
Ta verte poésie et la fraîche campagne ;
Je t'évoque partout ; il me semble souvent
Que je vais te trouver dans quelque coin rêvant,
Et que, dans le bois sombre ouvrant ses ailes blanches,
Ton vers jeune et vivant chante au milieu des branches.
Je m'attends à te voir sous un arbre endormi.
Je dis : où donc est-il ? et je m'écrie : — Ami,
Que tu sois dans les champs, que tu sois à la ville,
Salut ! bois un lait pur, bénis Dieu, lis Virgile !
Que le ciel rayonnant, où Dieu met sa clarté,
Te verse au coeur la joie et la sérénité !

Qu'il fasse à tout passant ta demeure sacrée !
Qu'autour de ta vieillesse aimable et vénérée,
Il accroisse, tenant tout ce qu'il t'a promis,
Ta famille d'enfants, ta famille d'amis !
Que le sourire heureux, te soit toujours facile !
Doux vieillard ! noble esprit ! sage tendre et tranquille !
Victor Hugo.

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Bonjour, bonjour,

Enfin vendredi pour moi rien de changé
mais pour les bosseurs le weekend est là
Cette journée sera t-elle aussi belle
que celle d'hier sur notre Provence ?
On l'espère, on ne se lasse pas du beau temps.
Un petit café et on repart pour de nouvelles
aventures sur le fofo et surtout dans notre vie.

On commence par un bon café avant les aventures du jour

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Moulin a vent  de Vénéjan- Gard

En 1813, un meunier de Bagnols-sur-Cèze demande la permission à la commune de Vénéjan, de construire un moulin à vent, afin d'alimenter les environs en farine. Ce moulin tourna donc, avec certitude pendant un peu plus de 50 ans, peut-être même 100 ans. La révolution industrielle et les conflits successifs ont eu raison de ce bon vieux moulin.

Aujourd'hui, le moulin de Vénéjan a retrouvé ses ailes. C'est dans le respect total de la tradition provençale qu'il a été réhabilité. Grâce au savoir faire des compagnons du devoir, on peut l'observer de nos jours et faire un bond dans le passé. Le mécanisme est en parfait été de marche, et lorsque Eole le veut bien, c'est avec plaisir que l'on voit ses ailes tourner.

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Bonjour, bonjour,

J'ai passé une bonne nuit réparatrice
et me voici en forme pour la journée.
Aujourd'hui une journée en famille
du moins les filles viennent manger
ce midi l'omelette d'asperges sauvages.

Un café et la journée peut démarrer

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Moulins du Mont des Alouettes -Les Herbiers - Vendée

Les moulins du Mont-des-Alouettes sont des moulins à vent situé aux Herbiers,
Situés sur le mont des Alouettes à 231 m d'altitude,
Ces 2 moulins auraient été construits au xvie siècle, et l'un d'eux appartenait au seigneur de l'Ementruère et acquis par Jean des Herbiers, seigneur de l'Etenduère en 1564.
Les 8 moulins de l'époque n'ont pas bénéficié du système mis au point par l'ingénieur Berton car le vent soufflait déjà assez fort. 5 moulins ont été détruits lors de la  guerre mondiale, 2 survivants ont été restaurés récemment par la commune des Herbiers et le Conseil général de Vendée.
Un seul est encore en activité et ouvert à la visite.
(source lusile17)

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Bonjour, bonjour,

C'est dimanche et le sommeil s'est enfui
Je rode comme une âme en peine sur le net
toute la petite maisonnée dort, alors chut
et ici aussi tout le monde dodote d'un sommeil profond
Tout doucement et sans bruit pour ne point vous réveiller
je vais préparer le café et belles tartines beurrées

Il reste 16 jours pour la délivrance de G et frisette
Notre Capitaine va sortir dans deux jours
bonne récupération Capitaine parmi les vôtres
des ondes positives à tous nos malades

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Moulin à vent - Moulin a vent Romanèche-Thorins- Saône et Loire

Il fut construit vers la fin du XVème siècle sur la colline de Poncié, située entre les communes de Romanèche-Thorins et Chenas, pour moudre le grain des populations environnantes.

La date de sa construction est incertaine mais il est la propriété de la même famille depuis 150 ans.

 Il a cessé de fonctionner en 1850 mais il a toujours été bien entretenu par les propriétaires. On l'avait même, à une époque, doté d'ailes factices, vite disparues. Ses meules, une paire, sont monolithes. La toiture, l'arbre et les ailes, à barreaux, ainsi que le mécanisme, ont été restaurés en 1999.

Malheureusement les verges, pourtant construites en chêne, se sont rompues au bout de sept ans, laissant une fois de plus ce moulin, et son meunier, désemparé. Il fut un des premiers moulins en France, classé Monument Historique en 1930.

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Bonjour, bonjour,

C'est un lundi tout nouveau tout beau
qui se présente à nous et dans 2 jours : Mars
le mois des giboulées fera son grand retour
chassera l'hiver et place au printemps.
Bon café et la journée démarre...

16 jours restent et ensuite la quille pour G et frisette
Notre Capitaine retrouve tout doucement son tonus habituel
Notre Opaline s'est refait une petit santé au Maroc
Notre domilu espérons que ça va, on n'a pas de nouvelles
et des ondes positives à tous malades de l'hiver
allez courage le printemps arrive, on sent déjà les premiers prémices

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Moulin à vent - Moulin a vent Romanèche-Thorins- Saône et Loire

Il fut construit vers la fin du XVème siècle sur la colline de Poncié, située entre les communes de Romanèche-Thorins et Chenas, pour moudre le grain des populations environnantes.

La date de sa construction est incertaine mais il est la propriété de la même famille depuis 150 ans.

 Il a cessé de fonctionner en 1850 mais il a toujours été bien entretenu par les propriétaires. On l'avait même, à une époque, doté d'ailes factices, vite disparues. Ses meules, une paire, sont monolithes. La toiture, l'arbre et les ailes, à barreaux, ainsi que le mécanisme, ont été restaurés en 1999.

Malheureusement les verges, pourtant construites en chêne, se sont rompues au bout de sept ans, laissant une fois de plus ce moulin, et son meunier, désemparé. Il fut un des premiers moulins en France, classé Monument Historique en 1930.

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Bonjour, bonjour tous les forumeurs d'Amitiés Francophones,

Dernier jour de février sera t-il pluvieux ?
sera t-il ensoleillé ou venteux ou bien les deux ?
Ce matin dans le cadre de ma délégation
j'ai rendez-vous avec le responsable des Restos du cœur
quand il m'a appelé pour me voir j'ai pensé à notre amie Etoile

On continue la série des moulins, moulin moulin tu tournes ?

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Moulin à vent - Moulin de la galette à  Montmartre -Paris

Le moulin de la galette est le seul moulin à vent en état de marche de la butte Montmartre.

Le moulin de la galette est en réalité constitué de deux moulins : le « Blute-fin » et le « Radet ». Le nom de « moulin de la galette » est mentionné pour la première fois en 1622 sous le nom de « moulin du palais ».La famille Debray (ancêtre de l'écrivain Régis Debray) acquiert les deux moulins en 1809 et y produit de la farine. Il ne servait pas uniquement à moudre le blé : il était utilisé pour presser les vendanges ou concasser les matériaux nécessaires aux manufactures.

Le nom de « Blute-fin » vient du verbe « bluter » qui signifie tamiser la farine pour la séparer du son. Le moulin, construit en 1622, a souvent été retapé. Il se trouve actuellement au sein d'une propriété privée. Les pièces importantes du mécanisme, comme les meules, existent toujours. En 1834, Nicolas-Charles Debray, propriétaire du moulin Blute-Fin, y ajouta une guinguette et un bal et baptisa le tout « Moulin de la Galette »

 Le « Radet » a été construit en 1717. Dans les années 1760 il est entièrement reconstruit. En 1834, il est transformé en guinguette les dimanches et jours fériés et prend alors le nom de « Moulin de la Galette », victime du progrès (il n'était pas équipé d'ailes Berton) et de la concurrence.

Cette enseigne sera transférée vers son proche voisin Le Blute-Fin. Une association 'Les Amis du Vieux Montmartre" le sauve de la destruction en 1915.

En 1924, son propriétaire le déplace à l'angle des rues Girardon et Lepic.

Il est restauré en 1978, mais ne tourne pas. En octobre 2001, Lucien Poupeau, charpentier, avec les conseils techniques de Marcel Charron, charpentier-amoulangeur en retraite, est chargé de la rénovation des ailes, il accomplira son travail en 4 jours.

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